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PETIT OISEAU
Bonjour à toi, joli petit oiseau,
Qui vient me faire coucou derrière mon carreau,
Triste je suis, quand tu m’as déjà quitté,
Pour retourner dans ton monde des ailés.
De qui es- tu petit oiseau, le messager,
De la nature en fête origine de ta vivacité,
Ou d’une tout autre entité, d’un esprit envolé,
Ou de ceux qui ne sont plus, qui m’ont quitté ?
Toi le rayon de lumière, par ton plumage coloré,
Tu illumines mon espace, ma vie, ma journée,
De l’espérance pour moi, tu es le vecteur ailé,
Que ma gratitude vers toi, te soit envoyée.
Es-tu de ceux, qui à longueur de journée,
Honorent avec gourmandise, les repas bien mérités,
Que je suspends chaque jour, aux branches dénudées,
Viens-tu par ta présence ailée, ainsi me remercier ?
Les anciens disaient toujours, la visite d’un oiseau,
Qui de jour librement, vient frapper au carreau,
Est un signe sans conteste, de quelqu’un, du très haut,
Qui pour un messager a choisi un oiseau.
Si c’est le cas, réjoui toi, mortel, d’avoir été préféré,
D’être ainsi le souci, de ton créateur, d’en être aimé,
Et qui te donne par le signe, de ce messager ailé,
L’assurance d’être attendu, toi, au- delà des nuées.
Et qu’ainsi, tu sois assuré, que ton heure n’a pas encore sonné,
Mais que tu as sur cette terre, une tâche non terminée,
A toi encore de la chercher, de façon à enfin l’exécuter,
Pour que ton parcours soit définitivement terminé.
29 – 11 – 17
D.S.
Qui vient me faire coucou derrière mon carreau,
Triste je suis, quand tu m’as déjà quitté,
Pour retourner dans ton monde des ailés.
De qui es- tu petit oiseau, le messager,
De la nature en fête origine de ta vivacité,
Ou d’une tout autre entité, d’un esprit envolé,
Ou de ceux qui ne sont plus, qui m’ont quitté ?
Toi le rayon de lumière, par ton plumage coloré,
Tu illumines mon espace, ma vie, ma journée,
De l’espérance pour moi, tu es le vecteur ailé,
Que ma gratitude vers toi, te soit envoyée.
Es-tu de ceux, qui à longueur de journée,
Honorent avec gourmandise, les repas bien mérités,
Que je suspends chaque jour, aux branches dénudées,
Viens-tu par ta présence ailée, ainsi me remercier ?
Les anciens disaient toujours, la visite d’un oiseau,
Qui de jour librement, vient frapper au carreau,
Est un signe sans conteste, de quelqu’un, du très haut,
Qui pour un messager a choisi un oiseau.
Si c’est le cas, réjoui toi, mortel, d’avoir été préféré,
D’être ainsi le souci, de ton créateur, d’en être aimé,
Et qui te donne par le signe, de ce messager ailé,
L’assurance d’être attendu, toi, au- delà des nuées.
Et qu’ainsi, tu sois assuré, que ton heure n’a pas encore sonné,
Mais que tu as sur cette terre, une tâche non terminée,
A toi encore de la chercher, de façon à enfin l’exécuter,
Pour que ton parcours soit définitivement terminé.
29 – 11 – 17
D.S.
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Le commun des mortels boit tous les mots... sans se tordre les méninges. Bravo Daniel.