Elle.... désire que le poète parle d'amour.....
Mais lui... ...... ne le peux.... non... il ne le peux...
Comment parlerait-il d'amour
A l'aube de ce merveilleux jour ?
Il ne peut que puiser en vous
Les lettres subtiles, nuancées de ses contours
A l'image du temps sont nos visages
Et y lire le soleil au zénith de sa lumière ou le ciel gris
En fonction du sourire ou de son naufrage
De sa brume, du plein soleil ou de l'éclaircie
Oh ne vous réjouissez point trop vite
Car que lira t-il au creux de vos regards,
A l'ombre de vos cœurs, emplis ou vides
Tantôt exultants, joyeux , tantôt hagards
Oui, vous...parlez nous d'amour...
Vous qui par vos yeux vos cœurs vos esprits
Lisez ces lettres ces mots ces écrits
Au crépuscule de ce jour...parlez nous d'amour...
Car que pourrait-il dire que vous ne sachiez déjà
Et que vous désirez peut-être en secret
Que pourrait-il écrire que vous ne viviez déjà
Et que vous chantez peut-être à grands frais
Au sublime matin de ce jour unique
En vos mains douces ou nouées, magnifiques
Lorsque l'aube à déployé sa lumière
Vous a t-elle doucement rejoint ?
De l'horizon du ciel à cette humble terre
Dont nous sommes pétris, et peut être... sereins ?
L'amour coule t-il comme un fleuve sacré
Dans le sang de nos veines, de nos émois, de nos cœurs...
Et l'offrons nous à la vie en pleine volée
En une multitude de sourires, de joies, de fleurs ?
Ou bien est ce l'amertume souvent salée
Qui susurre la peur ou le désespoir
Et vous rend la gorge nouée, la tête baissée
Dans les larmes et les pleurs le matin ou le soir
La peur d'aimer et ou ne point être aimé
Au creux difforme de la solitude
Ou ne pas aimer en retour, esseulé
Loin de l'harmonie et de sa sœur plénitude ?
Si la vue du bonheur des autres
Attise en vous le feu de la détresse
Quelque soit les souffrances, les erreurs et les fautes
Votre chemin peut redevenir tendresse
Si vous cachez vos désirs derrière un sourire
Pour ne pas déranger, vous dévoiler
Et que vous vous battez chaque jour contre le pire
Et chaque heure pour ne point sombrer
Quoique l'épreuve, le temps et son âge
Ai formé sur vos cœurs et vos corps ses sillons
Semez éperdument dans le partage
Et vous récolterez de magnifiques émotions
Vivons d'amour toujours et d'espoir
Et donnons au autres notre secours
Ne restons point seuls dans le noir
Et la lumière en nous, fera son séjour
Car l'amour sauvera le monde tôt ou tard c'est certain
Dans un siècle, dans un an, aujourd'hui ou demain
L'espérance fleurira au visage de nos sourires
Et la joie renaîtra dans la paix, la douceur et les rires...
Mais lui... ...... ne le peux.... non... il ne le peux...
Comment parlerait-il d'amour
A l'aube de ce merveilleux jour ?
Il ne peut que puiser en vous
Les lettres subtiles, nuancées de ses contours
A l'image du temps sont nos visages
Et y lire le soleil au zénith de sa lumière ou le ciel gris
En fonction du sourire ou de son naufrage
De sa brume, du plein soleil ou de l'éclaircie
Oh ne vous réjouissez point trop vite
Car que lira t-il au creux de vos regards,
A l'ombre de vos cœurs, emplis ou vides
Tantôt exultants, joyeux , tantôt hagards
Oui, vous...parlez nous d'amour...
Vous qui par vos yeux vos cœurs vos esprits
Lisez ces lettres ces mots ces écrits
Au crépuscule de ce jour...parlez nous d'amour...
Car que pourrait-il dire que vous ne sachiez déjà
Et que vous désirez peut-être en secret
Que pourrait-il écrire que vous ne viviez déjà
Et que vous chantez peut-être à grands frais
Au sublime matin de ce jour unique
En vos mains douces ou nouées, magnifiques
Lorsque l'aube à déployé sa lumière
Vous a t-elle doucement rejoint ?
De l'horizon du ciel à cette humble terre
Dont nous sommes pétris, et peut être... sereins ?
L'amour coule t-il comme un fleuve sacré
Dans le sang de nos veines, de nos émois, de nos cœurs...
Et l'offrons nous à la vie en pleine volée
En une multitude de sourires, de joies, de fleurs ?
Ou bien est ce l'amertume souvent salée
Qui susurre la peur ou le désespoir
Et vous rend la gorge nouée, la tête baissée
Dans les larmes et les pleurs le matin ou le soir
La peur d'aimer et ou ne point être aimé
Au creux difforme de la solitude
Ou ne pas aimer en retour, esseulé
Loin de l'harmonie et de sa sœur plénitude ?
Si la vue du bonheur des autres
Attise en vous le feu de la détresse
Quelque soit les souffrances, les erreurs et les fautes
Votre chemin peut redevenir tendresse
Si vous cachez vos désirs derrière un sourire
Pour ne pas déranger, vous dévoiler
Et que vous vous battez chaque jour contre le pire
Et chaque heure pour ne point sombrer
Quoique l'épreuve, le temps et son âge
Ai formé sur vos cœurs et vos corps ses sillons
Semez éperdument dans le partage
Et vous récolterez de magnifiques émotions
Vivons d'amour toujours et d'espoir
Et donnons au autres notre secours
Ne restons point seuls dans le noir
Et la lumière en nous, fera son séjour
Car l'amour sauvera le monde tôt ou tard c'est certain
Dans un siècle, dans un an, aujourd'hui ou demain
L'espérance fleurira au visage de nos sourires
Et la joie renaîtra dans la paix, la douceur et les rires...
Mes trois poèmes sont en FINALE pour le Prix Haïkus d’Hiver 2016. UN LINCEUL BLANCHI est le préféré de la plupart des lecteurs. Moi aussi, j’ai une préférence pour lui! Je vous invite à venir le lire et le soutenir si le cœur vous en dit! Merci d’avance!
http://short-edition.com/oeuvre/poetik/linceul-1