Manger le monde, chevaucher le vent
Hurler sous les cahots ardents sans
Se perdre au milieu de cette poussière
Et en jouant
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Palpitations et conversations (chapitre dix)
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-Connaître mon "je", encore et toujours, toujours et encore. Explorer mon "je", jour après jour, l'urgence du sursis, l'exigence de la survie. Ne jamais quitter le jeu, ne pas redouter la mort. Connaître mon "je", l'enjeu de toute une vie .
-Les mots ne sont pas nos choix mais un chemin de lenteur, dans la forge des lois, entre le geste et le cœur. Les mots ne sont pas nos choix, mais un chemin de paix, dans la forge des lois, entre la couleur et le reflet. Les mots ne sont pas nos choix, juste le revers de soi.
-Vide de mémoire, je cherche le mot juste et bon, pour apaiser mon désespoir, éclairer ma raison, écrire ma propre histoire aux quatre coins de l'horizon. Vide de mémoire, je cherche le mot juste et bon, pour celui qui voudra bien s'assoir à la table de mes chansons. Vide de mémoire, je cherche l'enfant que je fus, face au miroir du temps perdu.
-Regarde les veines de tes mains en pleine lumière et tu comprendras le cœur de l'Homme. Les veines sont nos rivières et nos prières. Les veines révèlent ce que nous sommes.
Minuscules comme celles des petits enfants, épaisses comme celles de nos pères, nos veines sont la mémoire de nos tourments, de nos histoires d'amour et de nos déserts.
Entre le cœur et l'esprit, nos veines nous jouent bien des tours, enflammant jour après jour nos vies, au nom du grand amour.
Comme un ultime chemin, regarde les veines de tes mains. Tes veines révèleront ce qui te façonne, tu y verras en transparence ton chemin et la justesse de tes consonnes.
-Les mots ne sont pas nos choix mais un chemin de lenteur, dans la forge des lois, entre le geste et le cœur. Les mots ne sont pas nos choix, mais un chemin de paix, dans la forge des lois, entre la couleur et le reflet. Les mots ne sont pas nos choix, juste le revers de soi.
-Vide de mémoire, je cherche le mot juste et bon, pour apaiser mon désespoir, éclairer ma raison, écrire ma propre histoire aux quatre coins de l'horizon. Vide de mémoire, je cherche le mot juste et bon, pour celui qui voudra bien s'assoir à la table de mes chansons. Vide de mémoire, je cherche l'enfant que je fus, face au miroir du temps perdu.
-Regarde les veines de tes mains en pleine lumière et tu comprendras le cœur de l'Homme. Les veines sont nos rivières et nos prières. Les veines révèlent ce que nous sommes.
Minuscules comme celles des petits enfants, épaisses comme celles de nos pères, nos veines sont la mémoire de nos tourments, de nos histoires d'amour et de nos déserts.
Entre le cœur et l'esprit, nos veines nous jouent bien des tours, enflammant jour après jour nos vies, au nom du grand amour.
Comme un ultime chemin, regarde les veines de tes mains. Tes veines révèleront ce qui te façonne, tu y verras en transparence ton chemin et la justesse de tes consonnes.
Tant de beauté et de bonté dans une poignée de mains !
Merci pour votre lecture et bonne journée.
étonnant...je tenterai l'expérience, peut être un jour!
très intéressante réflexion sur la conscience, l'être, la vie qui passe.