Oh majestueux chênes, frênes, ormes et bouleaux
Se parent de teintes d'or, se dorent de feux plus beaux
Pour cette année encore vos feuilles tourbillonnent
Annonçant le retour de la saison d'automne
Le vent un peu plus fou vient jouer dans vos branches
Le brouillard dès l'aube étend ses nappes blanches
Sur le sol humide dont s'exhalent les parfums
De la terre labourée dans le petit matin
Les coteaux qui s'embrasent au fils du temps qui passe
Se dépouillent à présent de leurs manteaux de feu
Ils savent que très bientôt devrons céder la place
À l'hiver qui sera l'hôte alors de ces lieux
Mais l'automne en son temps aura nourrit la terre
Préparant en son ventre les germes du renouveau
Alors même qu'en son heure les frimas de l'hiver
Lui auront procurée le nécessaire repos
Se parent de teintes d'or, se dorent de feux plus beaux
Pour cette année encore vos feuilles tourbillonnent
Annonçant le retour de la saison d'automne
Le vent un peu plus fou vient jouer dans vos branches
Le brouillard dès l'aube étend ses nappes blanches
Sur le sol humide dont s'exhalent les parfums
De la terre labourée dans le petit matin
Les coteaux qui s'embrasent au fils du temps qui passe
Se dépouillent à présent de leurs manteaux de feu
Ils savent que très bientôt devrons céder la place
À l'hiver qui sera l'hôte alors de ces lieux
Mais l'automne en son temps aura nourrit la terre
Préparant en son ventre les germes du renouveau
Alors même qu'en son heure les frimas de l'hiver
Lui auront procurée le nécessaire repos