Qui se rappelle de Walter Lau, ce petit être insignifiant, maigrichon et à la mine défaite ?
Rien, personne, néant, oui, néant...
Quelle âme... [+]
J’aime la part sombre des choses
J’aime que les roses soient noires
J’aime quand votre air morose
Prend le pas sur votre vain espoir.
Je contemple votre obscur horizon
Où je ne vois plus d’iniquité.
Quelle serait l’importance au fond
S’il restait le moindre souffle d’humanité ?
L’immatérialité évasive du temps
N’est délimitée que par l’humain,
Il ira toujours de l’avant
Sous vos frêles pas incertains.
Il n’y a rien que vous maîtrisiez.
Cette inconnue est une mécanique
Qui dans votre environnement désordonné
Vous étouffe par une sournoise panique.
Quand vos ponctuelles compassions
N’ont d’égal que votre violence,
Je ne peux que me réjouir des sons
Que diffuse votre impédance.
J’aime que les roses soient noires
J’aime quand votre air morose
Prend le pas sur votre vain espoir.
Je contemple votre obscur horizon
Où je ne vois plus d’iniquité.
Quelle serait l’importance au fond
S’il restait le moindre souffle d’humanité ?
L’immatérialité évasive du temps
N’est délimitée que par l’humain,
Il ira toujours de l’avant
Sous vos frêles pas incertains.
Il n’y a rien que vous maîtrisiez.
Cette inconnue est une mécanique
Qui dans votre environnement désordonné
Vous étouffe par une sournoise panique.
Quand vos ponctuelles compassions
N’ont d’égal que votre violence,
Je ne peux que me réjouir des sons
Que diffuse votre impédance.
N’est délimitée que par l’humain..."
Excellent!