Marécage, royaume du nymphéa
Ricoche en nappes de silence
Sur l’horizon poudreux
Où s’épanche le nuage... [+]
L'olivier des poètes
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L'ambre de vos yeux s'habille d'or, m'entraîne vers d'autres cieux.
Vêtue de vos bras nus, opium de mes sens, les flammes de la passion lèchent le velours de ma peau .
Vos mains, ailes de zéphyr, papillonnent sur mes courbes.
Orfèvre de l'amour, de vos doigts ruissellent des caresses étoilant mon corps m'apportant le frisson.
Je m'abreuve à votre bouche de cette liqueur d'amour.
Une sève incandescente irrigue nos veines.
Unissons la soie de notre peau !
Effeuillez-moi avant que naisse l'aurore.
Cueillez ce bouton de rose où perle la rosée.
Brûlons de mille feux la chasteté de notre amour.
L'aube rose dissipe la nuit, menant les amants à l'exil.
Déjà, mon soleil agonise.
A l'hiver de ma vie, au jour des neiges éternelles, telle Héloïse à Abélard, je déverse sur votre coeur, mon aimé, une cascade de tendresse.
De notre couche nuptiale, reste l'ombre de nos deux corps et un parchemin paraphé de nos noms, à l'encre de nos sangs mêlés.
Bienheureux petit pâtre, ému de sa découverte au petit matin, sous l'olivier de nos étreintes.
Chaque année renouvelée, au son du fifre du jeune berger, grillons et cigales chantent l'idylle des deux poètes.
laplumedenoellia.over-blog.com
Vêtue de vos bras nus, opium de mes sens, les flammes de la passion lèchent le velours de ma peau .
Vos mains, ailes de zéphyr, papillonnent sur mes courbes.
Orfèvre de l'amour, de vos doigts ruissellent des caresses étoilant mon corps m'apportant le frisson.
Je m'abreuve à votre bouche de cette liqueur d'amour.
Une sève incandescente irrigue nos veines.
Unissons la soie de notre peau !
Effeuillez-moi avant que naisse l'aurore.
Cueillez ce bouton de rose où perle la rosée.
Brûlons de mille feux la chasteté de notre amour.
L'aube rose dissipe la nuit, menant les amants à l'exil.
Déjà, mon soleil agonise.
A l'hiver de ma vie, au jour des neiges éternelles, telle Héloïse à Abélard, je déverse sur votre coeur, mon aimé, une cascade de tendresse.
De notre couche nuptiale, reste l'ombre de nos deux corps et un parchemin paraphé de nos noms, à l'encre de nos sangs mêlés.
Bienheureux petit pâtre, ému de sa découverte au petit matin, sous l'olivier de nos étreintes.
Chaque année renouvelée, au son du fifre du jeune berger, grillons et cigales chantent l'idylle des deux poètes.
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Apprécierez-vous "Sur le banc de bois" dans le jardin de mes haïkus ?