(le prédateur)
Je reviens me pencher
Sur la cime d'un arbre branché
Sur la cime d'un câble ignoré
Que le mistral frôle souvent
Je reviens me pencher
Au rebord d'un balcon dégarni
Découvrant la cité, son abri
Qui révèle son feu d'avant
Et tes plumes s'envolent
À la brise,
Elles s'affolent
Elles insolent
Par surprise
Qu'en dirais-tu ? Que disait-tu ?
Chercher la voie, trouver la voix
Quand pourtant tu reste une proie ;
Ton avis
affole,
Tiens-tu la boussole
en bris ?
Je reviens me pencher
Relâchant brusquement quelque poil
Mais avançant sous les étoiles
Je te vois dans la faim, arrivant -
Je reviens me pencher
Je te retrouve droit devant
Aide-moi et viens te pencher
Sous ma patte, qui t'attend
Qui t'attend.
Je reviens me pencher
Sur la cime d'un arbre branché
Sur la cime d'un câble ignoré
Que le mistral frôle souvent
Je reviens me pencher
Au rebord d'un balcon dégarni
Découvrant la cité, son abri
Qui révèle son feu d'avant
Et tes plumes s'envolent
À la brise,
Elles s'affolent
Elles insolent
Par surprise
Qu'en dirais-tu ? Que disait-tu ?
Chercher la voie, trouver la voix
Quand pourtant tu reste une proie ;
Ton avis
affole,
Tiens-tu la boussole
en bris ?
Je reviens me pencher
Relâchant brusquement quelque poil
Mais avançant sous les étoiles
Je te vois dans la faim, arrivant -
Je reviens me pencher
Je te retrouve droit devant
Aide-moi et viens te pencher
Sous ma patte, qui t'attend
Qui t'attend.
"Mais avançant sous les étoiles
Je te vois dans la faim, arrivant -"... j'adore !