De la cime des Alpes
Qui le ventre des nuages palpent,
L'on voit les vallons parsemés de sapins
Et de torrents semblant être sans fin
Du haut de ces gardiennes rassurantes,
Du haut de leurs pentes,
Le terrain s'étend infiniment
L'Isère, ce dépaysement !
Que de lagons et de rivières,
Ce sentiment de liberté nous saisit
Cela même, c'est l'Isère.
Et d'y être, on se réjouit
La faune et la flore s'épanouissent,
Sous des nuages de coton
De belles pierres lisses
Érodées par le temps si long.
Qui le ventre des nuages palpent,
L'on voit les vallons parsemés de sapins
Et de torrents semblant être sans fin
Du haut de ces gardiennes rassurantes,
Du haut de leurs pentes,
Le terrain s'étend infiniment
L'Isère, ce dépaysement !
Que de lagons et de rivières,
Ce sentiment de liberté nous saisit
Cela même, c'est l'Isère.
Et d'y être, on se réjouit
La faune et la flore s'épanouissent,
Sous des nuages de coton
De belles pierres lisses
Érodées par le temps si long.