Les vers en l'air ! Que personne ne rime !
Arrêtez la prose et tout se passera bien !
Faites sortir les quatrains et les... [+]
J'ai volé tant de vies j'ai brûlé tant de rêves
Et me voilà au bout du chemin où l'on crève.
J'ai fait couler le sang j'ai fait couler les larmes,
Depuis la nuit des temps il faut que l'humain s'arme.
Toi fils de l'homme dont l'ambition s'élève,
Pécheur originel issu d'Adam et d'Ève
Asservissant les siens, les privant de leurs droits
Ta quête du pouvoir est jalonnée de croix.
Toi qui vendis ton corps pour promouvoir ton art
Pensant trouver de l'or au bout de tous les dards,
Tu cherches en vain ton âme mais ne la trouve plus,
Il fallait un vainqueur et tu es le vaincu.
Artificielle alors est ton intelligence,
Accroc à cette toile qui tisse ta démence
À tes millions d'amis qui te disent je t'aime
Tu réponds par un clic de solitude vaine.
Dans ton laboratoire tu te vois en génie
Défiant la nature, jouant des maladies,
Tu as cru bon ouvrir la boite de Pandore
Tu as semé la vie et récolté la mort.
Quand tu voulais le ciel je t'ai donné des ailes
Tu voulais le pétrole l'essence et le diesel,
Tu as souillé ton monde je l'avais vu venir
J'ai troqué ton présent contre mon avenir.
Tu épuises les vents les mers et les rivières
Les soleils levants, les entrailles de la Terre
Tu cherches un autre monde au fin fond de l'espace
Ta planète poubelle déjà demande grâce.
Maudit le jour où tu signas le pacte,
L'humanité en vain regrettera ton acte
Tu te voulais seigneur, roi ou président
Maintenant de l'enfer tu es le résident.
Ouvertes sont les portes, lâchées sont les cohortes !
De diables et démons qui te prêtaient main-forte,
Toi l'homme infâme, le marchand de nos drames
De ces viles actions tu incarnas la trame.
Je t'ouvre enfin les portes que je t'avais cachées,
Qui donnent sur un monde infesté de damnés
Ceux qui ont cru en moi ont un sort détestable,
Je n'répond plus de rien alors va donc au diable.
Je t'ouvre enfin les portes que je t'avais cachées,
Qui donne sur un monde brûlant de macchabées,
Tu seras combustible et nourrira les flammes
C'est le prix à payer lorsque l'on vend son âme.
Et me voilà au bout du chemin où l'on crève.
J'ai fait couler le sang j'ai fait couler les larmes,
Depuis la nuit des temps il faut que l'humain s'arme.
Toi fils de l'homme dont l'ambition s'élève,
Pécheur originel issu d'Adam et d'Ève
Asservissant les siens, les privant de leurs droits
Ta quête du pouvoir est jalonnée de croix.
Toi qui vendis ton corps pour promouvoir ton art
Pensant trouver de l'or au bout de tous les dards,
Tu cherches en vain ton âme mais ne la trouve plus,
Il fallait un vainqueur et tu es le vaincu.
Artificielle alors est ton intelligence,
Accroc à cette toile qui tisse ta démence
À tes millions d'amis qui te disent je t'aime
Tu réponds par un clic de solitude vaine.
Dans ton laboratoire tu te vois en génie
Défiant la nature, jouant des maladies,
Tu as cru bon ouvrir la boite de Pandore
Tu as semé la vie et récolté la mort.
Quand tu voulais le ciel je t'ai donné des ailes
Tu voulais le pétrole l'essence et le diesel,
Tu as souillé ton monde je l'avais vu venir
J'ai troqué ton présent contre mon avenir.
Tu épuises les vents les mers et les rivières
Les soleils levants, les entrailles de la Terre
Tu cherches un autre monde au fin fond de l'espace
Ta planète poubelle déjà demande grâce.
Maudit le jour où tu signas le pacte,
L'humanité en vain regrettera ton acte
Tu te voulais seigneur, roi ou président
Maintenant de l'enfer tu es le résident.
Ouvertes sont les portes, lâchées sont les cohortes !
De diables et démons qui te prêtaient main-forte,
Toi l'homme infâme, le marchand de nos drames
De ces viles actions tu incarnas la trame.
Je t'ouvre enfin les portes que je t'avais cachées,
Qui donnent sur un monde infesté de damnés
Ceux qui ont cru en moi ont un sort détestable,
Je n'répond plus de rien alors va donc au diable.
Je t'ouvre enfin les portes que je t'avais cachées,
Qui donne sur un monde brûlant de macchabées,
Tu seras combustible et nourrira les flammes
C'est le prix à payer lorsque l'on vend son âme.
La fin du monde viendra de sa volonté de détruire son monde.
Votre ton est percutant, le vocabulaire choisi.