Ah, mon premier mois de juillet,
Tremblante comme de la gélatine,
Les roses arrosées de rosée
Faisaient ronronner mes... [+]


Autant l'automne étreint
Les âmes mélancoliques de leurs compagnes
Autant inexorable, son train
Décharne en douceur nos campagnes
À mesure que vents et vagues forcissent
Leurs desseins noircissent
Les tempêtes arrivent, tourmentes et flots rageurs
Aiguisant l'avidité des naufrageurs
Pilleurs ! Vos faisceaux trompent
Nombre de vaisseaux sombrent
Et sur ces côtes découpées, les épaves
Dégueulent leurs entrailles pour ceux qui s'en gavent
Mais de ces débris de bois
Naissent les échardes au cœur
Et même lorsqu'il fume et boit
Jamais l'homme n'étouffe en lui le fossoyeur.
Les âmes mélancoliques de leurs compagnes
Autant inexorable, son train
Décharne en douceur nos campagnes
À mesure que vents et vagues forcissent
Leurs desseins noircissent
Les tempêtes arrivent, tourmentes et flots rageurs
Aiguisant l'avidité des naufrageurs
Pilleurs ! Vos faisceaux trompent
Nombre de vaisseaux sombrent
Et sur ces côtes découpées, les épaves
Dégueulent leurs entrailles pour ceux qui s'en gavent
Mais de ces débris de bois
Naissent les échardes au cœur
Et même lorsqu'il fume et boit
Jamais l'homme n'étouffe en lui le fossoyeur.

Je vous invite à lire mon texte en compétition...
alors mon vote par plaisir...
invitation à ma premiere nouvelle "mon chateau" c'est autobio... en finale.
Sur ma page, si le cœur vous en dit : "le coq et l'oie". A bientôt !