Sous le chemisier
douces framboises sucrées
ta bouche empourprée
LES AMANTS
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Les amants
Des promesses qui se font sur l’oreiller,
un « je Vous aime » qui s’envole au matin,
des regards qui trahissent mais n’osent pas,
des rendez-vous manqués un jour de pluie,
l’esquisse d’ un demain qui ne sera pas,
et des rêves qu’on oublie au lever du jour,
un parfum de désir qui colle à la peau,
l’aveu qui dérange et le doute qui survient,
la peur de se perdre les rend muets,
vivre la musique d’un corps qui se donne,
sur des lèvres entrouvertes lire l’envie,
sacrifier à l’absence la passion éphémère,
troubler et émouvoir les sens en éveil,
se sentir vivant dans ce désir coupable
d’émotions bouleversant les non-dits,
s’abreuver d’une attente prometteuse
de sensations aux effluves d’interdits,
succomber à l’ivresse d’une nuit qui s’achève,
fiévreuse l’aube parait sur des effets éparpillés,
l’ ultime excuse à un au revoir pressé,
un dernier baiser entre deux soupirs.
Des promesses qui se font sur l’oreiller,
un « je Vous aime » qui s’envole au matin,
des regards qui trahissent mais n’osent pas,
des rendez-vous manqués un jour de pluie,
l’esquisse d’ un demain qui ne sera pas,
et des rêves qu’on oublie au lever du jour,
un parfum de désir qui colle à la peau,
l’aveu qui dérange et le doute qui survient,
la peur de se perdre les rend muets,
vivre la musique d’un corps qui se donne,
sur des lèvres entrouvertes lire l’envie,
sacrifier à l’absence la passion éphémère,
troubler et émouvoir les sens en éveil,
se sentir vivant dans ce désir coupable
d’émotions bouleversant les non-dits,
s’abreuver d’une attente prometteuse
de sensations aux effluves d’interdits,
succomber à l’ivresse d’une nuit qui s’achève,
fiévreuse l’aube parait sur des effets éparpillés,
l’ ultime excuse à un au revoir pressé,
un dernier baiser entre deux soupirs.
bises douces vers toi