Certains soirs sur les mers d’Orient,
On peut voir, bravant le courant,
Des méduses luminescentes
Qui éclairent la nuit... [+]
Assise à la table d’un café,
Je regarde le jour s’effacer
Et laisse mes rêves m’envahir,
Se mélanger aux souvenirs.
Je pense aux plages de mon enfance,
Aux petits villages de France.
Je pense à toutes ces vacances,
Au temps de l’insouciance.
Je sens mon esprit dériver
Loin de cette pièce confinée.
Soudain emportée par le vent,
Je m’envole vers l’océan.
Le ciel est plein de chemins
Vers de radieux lendemains.
Le ciel est plein de promesses
D’un monde empli de richesses.
Je veux fuir ce pays
Par la voie des nuages,
Je veux fuir cette vie
Le temps d’un voyage.
Des terres ensoleillées
Aux contrées glacées,
Des mers déchainées
Aux déserts brûlés,
Et des monts enneigés
A la table d’un café,
Je redescends sur Terre
Pour une réalité austère.
Assise à la table d’un café,
Je regarde le jour s’effacer
Et mes rêves dessiner
Une route vers la liberté.
Je regarde le jour s’effacer
Et laisse mes rêves m’envahir,
Se mélanger aux souvenirs.
Je pense aux plages de mon enfance,
Aux petits villages de France.
Je pense à toutes ces vacances,
Au temps de l’insouciance.
Je sens mon esprit dériver
Loin de cette pièce confinée.
Soudain emportée par le vent,
Je m’envole vers l’océan.
Le ciel est plein de chemins
Vers de radieux lendemains.
Le ciel est plein de promesses
D’un monde empli de richesses.
Je veux fuir ce pays
Par la voie des nuages,
Je veux fuir cette vie
Le temps d’un voyage.
Des terres ensoleillées
Aux contrées glacées,
Des mers déchainées
Aux déserts brûlés,
Et des monts enneigés
A la table d’un café,
Je redescends sur Terre
Pour une réalité austère.
Assise à la table d’un café,
Je regarde le jour s’effacer
Et mes rêves dessiner
Une route vers la liberté.
je vous invite, si le cœur vous en dit, à soutenir mon poème
http://short-edition.com/oeuvre/poetik/lettre-a-sacha
bien à vous