Il est penché sur son pupitre,
La lune l'éclaire à travers la vitre,
Sa plume gratte le papier,
Qui s'imbibe de ses larmes salées.
À chaque mot qu'il écrit,
Chaque fragment de vie,
C'est sa douleur qu'il offre au monde,
Dispersant ses humeurs vagabondes.
Il cherche dans sa souffrance la plus intime,
L'éclat de lumière le plus infime,
Il le sublime de mille mots flamboyants,
Pour vous en faire présent.
La beauté du sonnet s'inscrit dans vos cœurs,
Vous songez à ce poète, à sa clameur,
Un cri d'espoir dans la douleur,
Sans peut être imaginer,
Que vous écrire lui a pansé ses plaies.
Ces pleurs ce sont taries,
Dans un souffle de vie,
Vos cœurs en diapason,
Guéris par ses vers,
Battent à l'unisson,
Dans un monde de travers.
Le poète à cessé de pleurer,
Il a guéri votre âme et la sienne,
Et rit de contempler,
Ce que l'art peu forger dans la peine.
La lune l'éclaire à travers la vitre,
Sa plume gratte le papier,
Qui s'imbibe de ses larmes salées.
À chaque mot qu'il écrit,
Chaque fragment de vie,
C'est sa douleur qu'il offre au monde,
Dispersant ses humeurs vagabondes.
Il cherche dans sa souffrance la plus intime,
L'éclat de lumière le plus infime,
Il le sublime de mille mots flamboyants,
Pour vous en faire présent.
La beauté du sonnet s'inscrit dans vos cœurs,
Vous songez à ce poète, à sa clameur,
Un cri d'espoir dans la douleur,
Sans peut être imaginer,
Que vous écrire lui a pansé ses plaies.
Ces pleurs ce sont taries,
Dans un souffle de vie,
Vos cœurs en diapason,
Guéris par ses vers,
Battent à l'unisson,
Dans un monde de travers.
Le poète à cessé de pleurer,
Il a guéri votre âme et la sienne,
Et rit de contempler,
Ce que l'art peu forger dans la peine.
Si vous avez un instant... (https://short-edition.com/fr/oeuvre/poetik/euskal).