Ô combien d'âmes en délicates joies
Ont versé sur leurs plus tendres sentiments
Leur amour, assis sur le petit banc de bois
Les cœurs chauds enlacés infiniment.
Ils sont venus asseoir leurs douces fesses
Comme ces amants discrets et solitaires
Savourant leurs mots et leurs caresses
Les lèvres jointent à ne plus se défaire.
Par les soirs sous les vapeurs estivales
Ils ont posé sur le petit banc leurs yeux
Ne laissant nulle place ni intervalle
A tout inconnu ou d'autres amoureux.
Ils ont bu leurs souffles sur des baisers doux
Unissant leurs mains et croisant leurs doigts
Le bonheur si grand coulant sur leurs joues
Leurs désirs blottis sur le petit banc de bois.
Ils se sont aimés jusqu'à n'en plus finir
Respirant superbe leur voluptueuse beauté
L'émoi triomphant sur leurs doux soupirs
Dans l'étreinte de leurs bouches régalées.
Ô combien d'âmes en leurs délicates joies
Le bonheur sur leurs visages de miel
Ont laissé sur le petit banc de bois
L'ultime odeur de leur amour sensuel.
Ont versé sur leurs plus tendres sentiments
Leur amour, assis sur le petit banc de bois
Les cœurs chauds enlacés infiniment.
Ils sont venus asseoir leurs douces fesses
Comme ces amants discrets et solitaires
Savourant leurs mots et leurs caresses
Les lèvres jointent à ne plus se défaire.
Par les soirs sous les vapeurs estivales
Ils ont posé sur le petit banc leurs yeux
Ne laissant nulle place ni intervalle
A tout inconnu ou d'autres amoureux.
Ils ont bu leurs souffles sur des baisers doux
Unissant leurs mains et croisant leurs doigts
Le bonheur si grand coulant sur leurs joues
Leurs désirs blottis sur le petit banc de bois.
Ils se sont aimés jusqu'à n'en plus finir
Respirant superbe leur voluptueuse beauté
L'émoi triomphant sur leurs doux soupirs
Dans l'étreinte de leurs bouches régalées.
Ô combien d'âmes en leurs délicates joies
Le bonheur sur leurs visages de miel
Ont laissé sur le petit banc de bois
L'ultime odeur de leur amour sensuel.