Le chuintement du vent chahutant les volets,
Un murmure léger, deux ombres enlacées,
Des froufrous impatients, des fous
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Lorsque je partirai pour le dernier voyage
Celui que chacun fait sans retour, sans bagage,
Vous resterez ici, vous ne me suivrez pas.
Pour mieux vous recueillir, vous parlerez tout bas
Et me gratifierez d'un dialogue intérieur
Que mon esprit vivra comme un insigne honneur.
Si le corps disparait, jamais l'âme ne meurt
Et pour l'Éternité, survit dans les mémoires.
Elle ne peut pas trouver de plus belle demeure
À la fin du passage, au début de l'Histoire.
De précieux souvenirs feront vibrer vos cœurs.
Vous fermerez les yeux pour mieux les recevoir.
Vos parents, vos amis vous souriront d'ailleurs
Jusqu'au moment béni de les rejoindre un soir...
Chassez les idées sombres, écartez la douleur
Ne soyez pas trop tristes, le deuil n'est pas si noir !
Vos pleurs ne doivent être que larmes de bonheur.
Il faut s'en réjouir, il vous suffit d'y croire !
Celui que chacun fait sans retour, sans bagage,
Vous resterez ici, vous ne me suivrez pas.
Pour mieux vous recueillir, vous parlerez tout bas
Et me gratifierez d'un dialogue intérieur
Que mon esprit vivra comme un insigne honneur.
Si le corps disparait, jamais l'âme ne meurt
Et pour l'Éternité, survit dans les mémoires.
Elle ne peut pas trouver de plus belle demeure
À la fin du passage, au début de l'Histoire.
De précieux souvenirs feront vibrer vos cœurs.
Vous fermerez les yeux pour mieux les recevoir.
Vos parents, vos amis vous souriront d'ailleurs
Jusqu'au moment béni de les rejoindre un soir...
Chassez les idées sombres, écartez la douleur
Ne soyez pas trop tristes, le deuil n'est pas si noir !
Vos pleurs ne doivent être que larmes de bonheur.
Il faut s'en réjouir, il vous suffit d'y croire !