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Le divin
Sur la peau de votre ventre laissez ma main parcourir
Tout en délicatesse, juste le voir qu'il respire
Et votre main sur la mienne donnez moi le chemin
Pour descendre en ivresse et atteindre le divin....
Je sens juste sous mes doigts votre peau douce et frileuse
Oui.. Là.. à cette endroit! Sur vos lèvres fiévreuses
D'un sourire je caresse votre rivière qui m'invite
À faire naître la pulsion qui doucement vous excite
Dans des ronds du toucher... j'ouvre, vous donne des idées !
Et votre cœur en mouvement cherche lui à s'évader
Dans l'eau vive qui ruisselle je sens enfin mouiller.
Sous la pluie diluvienne vos cuisses relâchées...
Font partir un désir qui remonte jusqu'en vous
A vous faire bien frémir, et moi en devenir fou
D'un va et vient subtile je viens vous faire rougir
Pour atteindre cette osmose au douceur d'un plaisir
Votre main lâche mes doigts dans un regard complice
Une jouissance sans relâche... Je m'égare au délice
De voir vos yeux fermés dans l'ombre d'un supplice...
De ne pouvoir dire stop... en vous mes doigts coulissent
Et j'accélère encore vous faisant tournoyer!
Ne vous retenez plus, je sais, vous adorez
Cette caresse de douceur qui fouille sans hésiter
Votre âme douce et folle qui se perd à crier...
Dans un dernier soupir, vous embrasse très fort
A en couper votre souffle trembler jusqu'à la mort
Et sans l'ombre d'un doute vous m'accordez alors
D'un regard endiablé, me donner votre trésor...
Tout en délicatesse, juste le voir qu'il respire
Et votre main sur la mienne donnez moi le chemin
Pour descendre en ivresse et atteindre le divin....
Je sens juste sous mes doigts votre peau douce et frileuse
Oui.. Là.. à cette endroit! Sur vos lèvres fiévreuses
D'un sourire je caresse votre rivière qui m'invite
À faire naître la pulsion qui doucement vous excite
Dans des ronds du toucher... j'ouvre, vous donne des idées !
Et votre cœur en mouvement cherche lui à s'évader
Dans l'eau vive qui ruisselle je sens enfin mouiller.
Sous la pluie diluvienne vos cuisses relâchées...
Font partir un désir qui remonte jusqu'en vous
A vous faire bien frémir, et moi en devenir fou
D'un va et vient subtile je viens vous faire rougir
Pour atteindre cette osmose au douceur d'un plaisir
Votre main lâche mes doigts dans un regard complice
Une jouissance sans relâche... Je m'égare au délice
De voir vos yeux fermés dans l'ombre d'un supplice...
De ne pouvoir dire stop... en vous mes doigts coulissent
Et j'accélère encore vous faisant tournoyer!
Ne vous retenez plus, je sais, vous adorez
Cette caresse de douceur qui fouille sans hésiter
Votre âme douce et folle qui se perd à crier...
Dans un dernier soupir, vous embrasse très fort
A en couper votre souffle trembler jusqu'à la mort
Et sans l'ombre d'un doute vous m'accordez alors
D'un regard endiablé, me donner votre trésor...
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ma voix... et une proposition... de lecture...
http://short-edition.com/fr/oeuvre/tres-tres-court/corps-et-raison
Je passe vous lire. Amitiés à vous