La côte d’argent tisse
Tentacules dorés
Ses bras de sable blanc
Sur les dunes enfiévrées.
Du phare de... [+]
Le chalet
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Du lac en noir et blanc
À l’arbre en treillis
De la montagne sépias
Au chalet marron gris
J’ai découvert un monde
Qui n’a pas de limites
Qui n’a qu’une seconde
Dans l’espace infini
J’y ai posé bagages
Y ai déposé mes rêves
J’y ai enfermé la rage
Y ai accepté la trêve
J’en ai vu des pays
Mais jamais celui-ci
Il y fait bon d’y vivre
Il y fait bon d’y vivre
Sur le balcon en bois
Une vue sur le lac
Le jardin scintillera
Des floraisons de Pâques
Le chemin de terre
Menait à la porte treillis
J’y ai croisé le fer
Des couverts avec mes amis
La table en chêne est solide
Le plancher grince un peu
L’escalier de la mezzanine
À servis pour nous deux
L’âtre de la cheminée
Sent le hêtre cendré
Qu’il y fait bon d’y vivre
Qu’il y fait bon d’y vivre
Le soleil au zénith
Amène la gaieté
Le foyer qui crépite
Réchauffe nos cœurs gelés
Les oiseaux font leurs nids
Sur le toit du chalet
Un bon panier garnis
Pour les journées à pêcher
De l’aurore au crépuscule
Le balcon nous appel
La vue y est sans pareil
Sur le monde minuscule
Cette vue de l’esprit
Ce monde imaginaire
Qu’il y serait bon d’y vivre
Qu’il y serait bon d’y vivre
À l’arbre en treillis
De la montagne sépias
Au chalet marron gris
J’ai découvert un monde
Qui n’a pas de limites
Qui n’a qu’une seconde
Dans l’espace infini
J’y ai posé bagages
Y ai déposé mes rêves
J’y ai enfermé la rage
Y ai accepté la trêve
J’en ai vu des pays
Mais jamais celui-ci
Il y fait bon d’y vivre
Il y fait bon d’y vivre
Sur le balcon en bois
Une vue sur le lac
Le jardin scintillera
Des floraisons de Pâques
Le chemin de terre
Menait à la porte treillis
J’y ai croisé le fer
Des couverts avec mes amis
La table en chêne est solide
Le plancher grince un peu
L’escalier de la mezzanine
À servis pour nous deux
L’âtre de la cheminée
Sent le hêtre cendré
Qu’il y fait bon d’y vivre
Qu’il y fait bon d’y vivre
Le soleil au zénith
Amène la gaieté
Le foyer qui crépite
Réchauffe nos cœurs gelés
Les oiseaux font leurs nids
Sur le toit du chalet
Un bon panier garnis
Pour les journées à pêcher
De l’aurore au crépuscule
Le balcon nous appel
La vue y est sans pareil
Sur le monde minuscule
Cette vue de l’esprit
Ce monde imaginaire
Qu’il y serait bon d’y vivre
Qu’il y serait bon d’y vivre