Tu es sur ma terre, tu te crois à l'abri
Tu me détruis, m'abimes pour l'argent
Pour ton confort, tu y mets bien le prix
Penses à l'avenir, crois-tu vivre longtemps ?
Pourtant tu te gausses d'avoir des valeurs
Mais tu ne penses qu'à ton propre bonheur
Bientôt il sera trop tard pour me respecter
Ta petite planète bleue pourrait bien exploser
Je ne serais plus qu'une trace dans ton ciel
Lumière incandescente, et toi une étincelle
Arrose mon bois sec, délaisse le matériel
Où ton plaisir pourrait bien devenir mortel
Le soleil s'asphyxie, lui aussi désespère
Et si je reste bleue, c'est surement de colère....
Il y a des signes qui ne peuvent tromper
Combien d'espèces ont déjà disparues ?
La mer est envahie de déchets ménagers
Ça ne te choque pas puisque tu continues
Aujourd'hui, la grêle a la taille d'un ballon
Je ne compte plus toutes les inondations
Il y aura encore des tremblements de terre
De ce futur proche sonnera la misère
As-tu seulement pensé à la fonte des glaces
Les cotes seront ensevelies par les flots
Tout ce que je dis n'est pas vaine menace
Ma terre sera capturée par les eaux
Avec des gestes simples, change la scène
"Pour que le dernier arbre ne soit pas coupé
Pour que la rivière reste toujours saine
Pour que les poissons continuent d'y baigner"
Et tout cet argent, pourrais tu le jeter ?
Tu me détruis, m'abimes pour l'argent
Pour ton confort, tu y mets bien le prix
Penses à l'avenir, crois-tu vivre longtemps ?
Pourtant tu te gausses d'avoir des valeurs
Mais tu ne penses qu'à ton propre bonheur
Bientôt il sera trop tard pour me respecter
Ta petite planète bleue pourrait bien exploser
Je ne serais plus qu'une trace dans ton ciel
Lumière incandescente, et toi une étincelle
Arrose mon bois sec, délaisse le matériel
Où ton plaisir pourrait bien devenir mortel
Le soleil s'asphyxie, lui aussi désespère
Et si je reste bleue, c'est surement de colère....
Il y a des signes qui ne peuvent tromper
Combien d'espèces ont déjà disparues ?
La mer est envahie de déchets ménagers
Ça ne te choque pas puisque tu continues
Aujourd'hui, la grêle a la taille d'un ballon
Je ne compte plus toutes les inondations
Il y aura encore des tremblements de terre
De ce futur proche sonnera la misère
As-tu seulement pensé à la fonte des glaces
Les cotes seront ensevelies par les flots
Tout ce que je dis n'est pas vaine menace
Ma terre sera capturée par les eaux
Avec des gestes simples, change la scène
"Pour que le dernier arbre ne soit pas coupé
Pour que la rivière reste toujours saine
Pour que les poissons continuent d'y baigner"
Et tout cet argent, pourrais tu le jeter ?
Ce message pour vous dire aussi que mon sonnet Roberto que vous avez soutenu, est maintenant en finale automne. Je sollicite de vous un nouveau soutien pour lui : https://short-edition.com/fr/oeuvre/poetik/Roberto Bonne journée à vous.