Dis-moi toi, mon berceau
De pampre, ma charmille
Toi, mon amie-gâteau
Mon ironie gentille
Dis-moi où tu t'en vas.... [+]
Tu es un songe dont je ne peux,
Me départir sans douleur,
Car chaque jour je veux,
Et te voir et te sentir.
Ton âme si belle me fait défaut,
Le soleil au zénith n'apaise en rien,
Et ma solitude et mes maux,
Bien cahoteux est mon chemin !
La rivière notre amie, coule solitaire,
Son ennui rejoint le mien,
Toutes deux nous sommes en hiver,
Et avons pour semblable dessein,
De te ramener sur nos rivages.
Il en est assez de cette absence,
Et d'elle, tous ces ravages,
Oh Ami ! cesse-là notre pénitence.
Me départir sans douleur,
Car chaque jour je veux,
Et te voir et te sentir.
Ton âme si belle me fait défaut,
Le soleil au zénith n'apaise en rien,
Et ma solitude et mes maux,
Bien cahoteux est mon chemin !
La rivière notre amie, coule solitaire,
Son ennui rejoint le mien,
Toutes deux nous sommes en hiver,
Et avons pour semblable dessein,
De te ramener sur nos rivages.
Il en est assez de cette absence,
Et d'elle, tous ces ravages,
Oh Ami ! cesse-là notre pénitence.