Tous ces bikinis
éruption en plein été
du volcan éteint
Mon bel amour
Ô toi ! L’homme qui m’a aperçu avant tout
Ô toi ! Celui à qui j’ai tant donné de moi,
La douceur nous a caressé tel un aloi,
Ma tête est ensuquée, je ne sens plus mon pouls
Car mon voile blanc se soulève jusqu’au cou.
Pourtant au berceau j’entendais « Pas de fourvoies »,
Mais tout noblement, mes cheveux au vent ondoient,
Nos respirations s’entament jusqu’au bout.
Là, la rue pleine devient silencieuse.
On a su. Pourtant je garde ma coquilleuse,
Mais en essayant d’amenuiser son regard
Je tombe tristement dans mon coton si pur.
Ô toi ! Le seul homme qui a vu ma guipure,
Je suis paralysée dans tes yeux hagards.
Ô toi ! L’homme qui m’a aperçu avant tout
Ô toi ! Celui à qui j’ai tant donné de moi,
La douceur nous a caressé tel un aloi,
Ma tête est ensuquée, je ne sens plus mon pouls
Car mon voile blanc se soulève jusqu’au cou.
Pourtant au berceau j’entendais « Pas de fourvoies »,
Mais tout noblement, mes cheveux au vent ondoient,
Nos respirations s’entament jusqu’au bout.
Là, la rue pleine devient silencieuse.
On a su. Pourtant je garde ma coquilleuse,
Mais en essayant d’amenuiser son regard
Je tombe tristement dans mon coton si pur.
Ô toi ! Le seul homme qui a vu ma guipure,
Je suis paralysée dans tes yeux hagards.
Il n’a jamais connu de loi