Les statues de bronze
pleurent des larmes de givre
sous le vent mordant
Laissez-moi à mes rêves
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Laissez-moi à mes rêves
Puisque partout on crève,
De choléra, de peste
Ou de fièvre funeste.
Je préfère l'ivresse
Des parfums de l'été,
Les jours ensoleillés,
La douceur des soirées.
Je préfère la caresse
De la brise océane,
Les vagues et les embruns,
Les plages de sable fin.
Je préfère la paresse
D'une sieste sous les palmiers,
Bercée par le ressac
Dans un léger hamac.
Je préfère la tendresse
De tes baisers salés
Et tes mains baladeuses
Sur ma peau amoureuse.
Je préfère l'allégresse
Des oiseaux du printemps
Qui célèbrent à tue-tête
La vie comme une fête.
Je préfère la liesse
D'une danse endiablée
Comme un rite vaudou
Au son d'un rythme fou.
Je préfère la sagesse
Des moines du Tibet
Qui vivent loin du monde
Et de ses lois immondes.
Je préfère la promesse
Des saisons à venir
Et les fleurs du jardin
Qu'il nous reste à cueillir.
Puisque partout on crève,
De choléra, de peste
Ou de fièvre funeste.
Je préfère l'ivresse
Des parfums de l'été,
Les jours ensoleillés,
La douceur des soirées.
Je préfère la caresse
De la brise océane,
Les vagues et les embruns,
Les plages de sable fin.
Je préfère la paresse
D'une sieste sous les palmiers,
Bercée par le ressac
Dans un léger hamac.
Je préfère la tendresse
De tes baisers salés
Et tes mains baladeuses
Sur ma peau amoureuse.
Je préfère l'allégresse
Des oiseaux du printemps
Qui célèbrent à tue-tête
La vie comme une fête.
Je préfère la liesse
D'une danse endiablée
Comme un rite vaudou
Au son d'un rythme fou.
Je préfère la sagesse
Des moines du Tibet
Qui vivent loin du monde
Et de ses lois immondes.
Je préfère la promesse
Des saisons à venir
Et les fleurs du jardin
Qu'il nous reste à cueillir.
Il est ou ce paradis ? Je veux bien m'y poser juste un instant!
Ou n'est ce qu'un doux rêve celui de l'espoir pour demain!
Savoureux tableau!
Qui capture la clarté indicible
Chargée de possible
Que réserve parfois la vie…
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Amitiés
Bonois