J’ai repris une à une chaque pierre de lune
Toutes celles posées comme des différences
Toutes celles accordées à nos... [+]
La douleur est pénétrante,
Et la peine omniprésente.
Les larmes coulent lentement,
De ses yeux suppliants,
Refusant de reconnaître la vérité,
Qu'est la sentence affligée,
De perdre un être cher
Envolé dans les airs.
La solitude l'envahit,
Elle se sent abandonnée et trahit.
Puis place aux regrets répugnants,
Qui lui disent qu'elle n'a pas profité de ce temps.
La mort est terrible et elle le sera toujours,
Elle lui a fait perdre sa famille en ce fameux jour.
Mais elle doit se relever,
Car elle est vivante et que la vie l'attend,
Fière et debout elle doit l'affronter,
Cette terrible mort qui se languit en la surveillant.
Et la peine omniprésente.
Les larmes coulent lentement,
De ses yeux suppliants,
Refusant de reconnaître la vérité,
Qu'est la sentence affligée,
De perdre un être cher
Envolé dans les airs.
La solitude l'envahit,
Elle se sent abandonnée et trahit.
Puis place aux regrets répugnants,
Qui lui disent qu'elle n'a pas profité de ce temps.
La mort est terrible et elle le sera toujours,
Elle lui a fait perdre sa famille en ce fameux jour.
Mais elle doit se relever,
Car elle est vivante et que la vie l'attend,
Fière et debout elle doit l'affronter,
Cette terrible mort qui se languit en la surveillant.
Bravo !
Et les nuages s’en iront au loin sur l’horizon et reviendra le beau temps
Et refleurira le Printemps des poètes accrocher des couleurs au firmament.
Tu verras Lole tout recommencera, la vie, l’amour, les rêves, c’est fait pour ça
A bientôt graine d’écrivaine, écris tes joies et peines, les poèmes c’est fait pour ça.
« Les vers, les rimes ça sert à quoi, à quoi ça rime et vice versable… ça sert à voler, à chasser les nuages, le vague à l’âme et la déprime, ça sert à dessiner des papillons et des sillons sur les rivages, à accrocher des rimes impérissables aux lignes d’horizon, là où naissent les mots et les mélodies.
Ça sert, ça serre le cœur, à retenir des instants insaisissables, des moments inoubliables passés… présents bien après la dérive des mots, des sentiments versés aux lames de l'océan, bien longtemps après que les poètes se soient envolés et les grains de sable blanc dispersés aux quatre vents. »
La mort fait partie de la vie, elle est ce que le noir est au blanc, ce que le jour est à la nuit… et vice versa et ainsi à l’infini se perd dans la nuit des temps. Mais Elle fait face, elle rebondit et c’est là l’important.
* Je n'étais pas poèmes dans le passé, qui n'étaient pas ma tasse de thé et puis tu vois les goûts changent, évoluent avec le temps.
On ressent toute la peine et la souffrance.
Très réussi!
Mais en tout cas merci ma p'tite boulette !! ; )