Quel est donc ce doux fruit, cette perle languie,
Ce vénal omniscient dont les larmes d'argent
Dans les flasques du temps n'ont nullement flétries
Et qui semble animé d'un souffle fulgurant ?
Quel est donc, étourdi, ce fabuleux permis,
Cette instance éminente et pourtant éphémère,
Dont l'emprise aberrée a autrefois jailli
Résultant désormais à multitude d'ères ?
Quel est donc ce dictat, ce sombre Ératosthène,
La mielleuse ciguë, l'exécrable hasard,
Ce vil usurpateur qui occupe nos gènes ?
Cet être si dément est pourtant tout haleine,
Toute l'hégémonie en un corps si hagard,
Profitons de ce bien, de la dure Vie même.
Ce vénal omniscient dont les larmes d'argent
Dans les flasques du temps n'ont nullement flétries
Et qui semble animé d'un souffle fulgurant ?
Quel est donc, étourdi, ce fabuleux permis,
Cette instance éminente et pourtant éphémère,
Dont l'emprise aberrée a autrefois jailli
Résultant désormais à multitude d'ères ?
Quel est donc ce dictat, ce sombre Ératosthène,
La mielleuse ciguë, l'exécrable hasard,
Ce vil usurpateur qui occupe nos gènes ?
Cet être si dément est pourtant tout haleine,
Toute l'hégémonie en un corps si hagard,
Profitons de ce bien, de la dure Vie même.