La multitude et le nombre.
Le corps le sexe la sueur.
La promiscuité, le parfum.
Les promesses et les mains,
Mais toujours,
La solitude de l'âme.
L'immensité, l'absence, le silence,
La preuve par le vide d'une présence.
Un instant l'âme comblée,
La bouteille descendue,
La pendule remontée.
Qu'est-ce que tu dirais
Si je posais mon coeur à tes pieds,
Et que je m'en allais.
La solitude de l'âme
Ouais, mais bon,
Léger léger,
Faut pas déconner.
Le corps le sexe la sueur.
La promiscuité, le parfum.
Les promesses et les mains,
Mais toujours,
La solitude de l'âme.
L'immensité, l'absence, le silence,
La preuve par le vide d'une présence.
Un instant l'âme comblée,
La bouteille descendue,
La pendule remontée.
Qu'est-ce que tu dirais
Si je posais mon coeur à tes pieds,
Et que je m'en allais.
La solitude de l'âme
Ouais, mais bon,
Léger léger,
Faut pas déconner.
Si vous avez quelques minutes, je vous propose de lire : http://short-edition.com/oeuvre/nouvelles/la-ferme