Voici que les volets de la chambre sont clos
Et que la lampe, éteinte, éclaire de mémoire
Afin de redonner le jour aux... [+]
Une huile de goudron s’enflamme et fait torchère
Léchant de sa zébrure la grotte humide en sel
Des ailes de douceur cajolent le corps frêle
Une odeur d’encens alourdit l’atmosphère
Des lianes par milliers s’échappent du couvercle
Comme le serpentaire libéré des grands astres
Sagittaire fuyant devant le grand désastre
S’incline et se repent en allongeant le cercle
Caverne silencieuse perdue dans les Cévennes
Les peintures rupestres décorent les parois
Enluminures témoins des bipèdes aux abois
Hommes parachutés dans cette vie soudaine
Dédale de cathédrales drapées de majesté
Bestiaires multicolores silence religieux
Un crâne d’ours trône sur un bloc rocheux
Symbole de bravoure de mère incontestée
Une superposition d’images similaires
Générant l’illusion du mouvement animal
Quand la flamme vacille illumine la salle
Lions et rhinocéros se fusent en un éclair
Le cœur est écrasé par tant de merveilleux
De noble de sacré d’éternel témoin
Mortel éphémère en sommes-nous si loin
Quand on pousse la porte que nous ouvre les yeux.
Léchant de sa zébrure la grotte humide en sel
Des ailes de douceur cajolent le corps frêle
Une odeur d’encens alourdit l’atmosphère
Des lianes par milliers s’échappent du couvercle
Comme le serpentaire libéré des grands astres
Sagittaire fuyant devant le grand désastre
S’incline et se repent en allongeant le cercle
Caverne silencieuse perdue dans les Cévennes
Les peintures rupestres décorent les parois
Enluminures témoins des bipèdes aux abois
Hommes parachutés dans cette vie soudaine
Dédale de cathédrales drapées de majesté
Bestiaires multicolores silence religieux
Un crâne d’ours trône sur un bloc rocheux
Symbole de bravoure de mère incontestée
Une superposition d’images similaires
Générant l’illusion du mouvement animal
Quand la flamme vacille illumine la salle
Lions et rhinocéros se fusent en un éclair
Le cœur est écrasé par tant de merveilleux
De noble de sacré d’éternel témoin
Mortel éphémère en sommes-nous si loin
Quand on pousse la porte que nous ouvre les yeux.
Dans le même style Je vous invite à aller lire le poème sur les cuves de Sassenage et vous guiderai dans les entrailles de cette terre enchantée et de la cavité magique. MERCI d'avance
Etes vous Ardéchoise Francine ?