Silencieuse la nuit aux tendres espoirs,
En son sein il est une main de velours,
Délicate aux longs doigts fins,
Qui s'est emparée de tous mes rêves.
D'une caresse elle m'a lacéré le cœur,
Brisant mon sommeil d'un tintement,
Le rire d'une femme dans l'obscurité,
Son visage m'est invisible.
Enchanteresse du sommeil,
Douce comme une ombre,
Brouillard planant sur ma vie
Elle me souffle ses jolis mots.
Ce n'est que lorsque le jour se lève,
Pâle et anémique,
Que j'ouvre mes paupières,
La main de velours s'éloigne.
Elle s'évapore,
Dans un parfum de regret,
Sombre et entêtant,
Debout !
En son sein il est une main de velours,
Délicate aux longs doigts fins,
Qui s'est emparée de tous mes rêves.
D'une caresse elle m'a lacéré le cœur,
Brisant mon sommeil d'un tintement,
Le rire d'une femme dans l'obscurité,
Son visage m'est invisible.
Enchanteresse du sommeil,
Douce comme une ombre,
Brouillard planant sur ma vie
Elle me souffle ses jolis mots.
Ce n'est que lorsque le jour se lève,
Pâle et anémique,
Que j'ouvre mes paupières,
La main de velours s'éloigne.
Elle s'évapore,
Dans un parfum de regret,
Sombre et entêtant,
Debout !