Un son dans ce silence, un seul dans cet instant ;
Persistant que tu ries, tu pleures ou tu t’endormes,
Et bien avant... [+]

Je me rêve en oiseau, et mes ailes se brisent
Sur ces barreaux de verre... si fragiles et si durs.
Dans ce piège infernal, cette terrible emprise,
À quoi bon se débattre ? L’horizon est obscur.
Si froide est la cage qui me tient enfermé,
Bien loin des doux rivages où je veux m’envoler !
Quel terrible geôlier veut ainsi m’affamer,
Privé de liberté et des cieux étoilés ?
Toi monstrueux cerbère ! Tu sembles te réjouir,
T’abreuver de mon souffle et de mon désespoir.
Abrège l’agonie, je renonce à m’enfuir,
Surtout je te supplie : écarte ce miroir !
Il me renvoie l’image de mon impuissance,
De mes rêves perdus, de ces illusions
Dont je me nourrissais avec tant d’indécence.
Je n’y vois désormais qu’un absurde oisillon...
Qui pourrait s’envoler puisqu’il détient la clé
Du piège et des filets où il s’est emmêlé.
Sur ces barreaux de verre... si fragiles et si durs.
Dans ce piège infernal, cette terrible emprise,
À quoi bon se débattre ? L’horizon est obscur.
Si froide est la cage qui me tient enfermé,
Bien loin des doux rivages où je veux m’envoler !
Quel terrible geôlier veut ainsi m’affamer,
Privé de liberté et des cieux étoilés ?
Toi monstrueux cerbère ! Tu sembles te réjouir,
T’abreuver de mon souffle et de mon désespoir.
Abrège l’agonie, je renonce à m’enfuir,
Surtout je te supplie : écarte ce miroir !
Il me renvoie l’image de mon impuissance,
De mes rêves perdus, de ces illusions
Dont je me nourrissais avec tant d’indécence.
Je n’y vois désormais qu’un absurde oisillon...
Qui pourrait s’envoler puisqu’il détient la clé
Du piège et des filets où il s’est emmêlé.
Si le cœur vous en dit je vous invite à consulter ma page et soutenir les poèmes qui vous plaisent. Merci.