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L'être à Didi
Je t’écris cette lettre
Pour toutes celles omises
Loin des yeux loin du cœur
Vérité fausse puisque j’entends battre le tiens
Malgré ce profond sommeil qui nous séparent
Je t’ai cueillie ce bouquet de mots
Car loin des yeux loin du cœur
Je souffre quand même de ces maux
Lorsque je te souffles ces mots
Tu as façonné ma mémoire et
Ton souvenir reste intact
Malgré ce profond sommeil qui nous séparent
Souviens toi jadis
Mon sommeil dépendait du tien
Quand je m’endormais
Dans tes bras ah que c’est loin
Ton souvenir reste intact
Onirique est ta présence
ô femme aux pensées iréniques
je pense à toi chaque jour que Dieu fait
âme athée qui garde l’espoir
te revoir briser ce sommeil qui nous séparent
loin des yeux loin du cœur
j’ai voulu oublier
car l’oubli preserve des plaies vives
mais chaque choses me rappelle à ton souvenir
même ce profond sommeil qui nous séparent
ici bas l’existence est vide
sans toi les larmes du ciel
noie les gens sans toit
ici les gens sont vides
avides aux cœur putride
je me sens comme un apatride
eldorado n’est pas le terme idoine
car ici bas nous sommes dos à dos
ici nous avons trop donc pas assez
d’humanité
l’inanité est le synonyme de notre société
de cons- sans somation
j’aimerais casser cette machine
dépecer la bête qu’elle anime
le ventre dilaté des tresors de nos mines
elle erige des barbelés
qui nous eloignent des étoiles
qui m’eloigne de toi
reveille toi !
de ce profond sommeil qui nous séparent
ici bas le soleil ne brille pas autant
qu’en ton cœur
il met à jour seulement
la rancœur et mes torpeurs
revenir, partir j’ai besoin de
te sentir près de moi car
comme les verbes nous vivons en groupe
hormis dans ces sommeils qui nous séparent
l’occident m’a enfermé
dans son carcan
mes pensées s’en vont vacquants
vers un reveil un rêve un endroit à part
ou le soleil nous brûlent des vérités
d’un amour filial
fait de cohesions heritées
j’entends le perroquet gris de mon sommeil
qui entends en mon cœur le battement d’une aile
des mots s’echappent s’envolent de ma voix
« je t’aime » « je t’aime » dit il babillard
dans ce profond sommeil qui nous séparent...
Pour toutes celles omises
Loin des yeux loin du cœur
Vérité fausse puisque j’entends battre le tiens
Malgré ce profond sommeil qui nous séparent
Je t’ai cueillie ce bouquet de mots
Car loin des yeux loin du cœur
Je souffre quand même de ces maux
Lorsque je te souffles ces mots
Tu as façonné ma mémoire et
Ton souvenir reste intact
Malgré ce profond sommeil qui nous séparent
Souviens toi jadis
Mon sommeil dépendait du tien
Quand je m’endormais
Dans tes bras ah que c’est loin
Ton souvenir reste intact
Onirique est ta présence
ô femme aux pensées iréniques
je pense à toi chaque jour que Dieu fait
âme athée qui garde l’espoir
te revoir briser ce sommeil qui nous séparent
loin des yeux loin du cœur
j’ai voulu oublier
car l’oubli preserve des plaies vives
mais chaque choses me rappelle à ton souvenir
même ce profond sommeil qui nous séparent
ici bas l’existence est vide
sans toi les larmes du ciel
noie les gens sans toit
ici les gens sont vides
avides aux cœur putride
je me sens comme un apatride
eldorado n’est pas le terme idoine
car ici bas nous sommes dos à dos
ici nous avons trop donc pas assez
d’humanité
l’inanité est le synonyme de notre société
de cons- sans somation
j’aimerais casser cette machine
dépecer la bête qu’elle anime
le ventre dilaté des tresors de nos mines
elle erige des barbelés
qui nous eloignent des étoiles
qui m’eloigne de toi
reveille toi !
de ce profond sommeil qui nous séparent
ici bas le soleil ne brille pas autant
qu’en ton cœur
il met à jour seulement
la rancœur et mes torpeurs
revenir, partir j’ai besoin de
te sentir près de moi car
comme les verbes nous vivons en groupe
hormis dans ces sommeils qui nous séparent
l’occident m’a enfermé
dans son carcan
mes pensées s’en vont vacquants
vers un reveil un rêve un endroit à part
ou le soleil nous brûlent des vérités
d’un amour filial
fait de cohesions heritées
j’entends le perroquet gris de mon sommeil
qui entends en mon cœur le battement d’une aile
des mots s’echappent s’envolent de ma voix
« je t’aime » « je t’aime » dit il babillard
dans ce profond sommeil qui nous séparent...
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