Huit heures du matin, quartier de Manhattan
Sortant d’un café-bar où j’ai passé la nuit,
Elle me fuit du regard tel... [+]
L'Achèvement
il y a
1 min
264
lectures
lectures
11
Qualifié

Il fut un temps où je grandis là-bas,
Un moment où je souffre sans toi, las
De me battre tous les jours sans savoir
S’il faut baisser les armes pour te voir.
J’ai longtemps hésité à m’engager,
J’ai prié pour ne pas le regretter,
Mais, maintenant, c’est trop tard, j’ai trop peur
De ne plus pouvoir y croire sans pleurs.
Ce soir, je veux ce sommeil infini,
Qui me délivrerait d’une insomnie
Faite d’attente, où je prie la venue
D’une salvatrice icône ingénue.
Bref, me voici libéré de prison,
Je sors seul, libre, et sans illusions,
Regard vers l’avant, un sourire enfin,
Avec ou sans toi, tout droit vers la fin.
Un moment où je souffre sans toi, las
De me battre tous les jours sans savoir
S’il faut baisser les armes pour te voir.
J’ai longtemps hésité à m’engager,
J’ai prié pour ne pas le regretter,
Mais, maintenant, c’est trop tard, j’ai trop peur
De ne plus pouvoir y croire sans pleurs.
Ce soir, je veux ce sommeil infini,
Qui me délivrerait d’une insomnie
Faite d’attente, où je prie la venue
D’une salvatrice icône ingénue.
Bref, me voici libéré de prison,
Je sors seul, libre, et sans illusions,
Regard vers l’avant, un sourire enfin,
Avec ou sans toi, tout droit vers la fin.