Rien
Le sable rose pâle poudre les doigts
Du chamelier muet accroupi,
Perçant le chèche blanc son regard noir
Balaie
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Jeux de mains
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Tu penses à elle toutes les nuits,
T’as des ailes sur son corps
Et des larmes de joie sous la pluie,
Peu importe le temps, tu oublies tes torts.
Tu fermes les yeux pour ne pas voir son âge,
Tes mains sur elle ne pensent plus,
Tu te répètes que l’amour, l’amour à son visage
Mais tes illusions se brisent sur son innocence perdue.
Tu rêves sans arrêt à cette fille,
A ce qu’elle sait et à ce que tu lis dans ses yeux,
Elle habite tes heures et dort dans ton lit,
Les années qui vous séparent ont changé les règles du jeu.
Tu fermes les yeux pour ne pas voir son âge,
Tes mains sur elle ne pensent plus,
Tu te répètes que l’amour, l’amour à son visage
Mais tes illusions se brisent sur son innocence perdue.
La passion est ce feu qui te dévore,
Pour elle, c’est cet incendie qui la change,
Serre-toi encore contre son corps,
Demain, elle partira... Éphémère est l’amour des anges.
T’as des ailes sur son corps
Et des larmes de joie sous la pluie,
Peu importe le temps, tu oublies tes torts.
Tu fermes les yeux pour ne pas voir son âge,
Tes mains sur elle ne pensent plus,
Tu te répètes que l’amour, l’amour à son visage
Mais tes illusions se brisent sur son innocence perdue.
Tu rêves sans arrêt à cette fille,
A ce qu’elle sait et à ce que tu lis dans ses yeux,
Elle habite tes heures et dort dans ton lit,
Les années qui vous séparent ont changé les règles du jeu.
Tu fermes les yeux pour ne pas voir son âge,
Tes mains sur elle ne pensent plus,
Tu te répètes que l’amour, l’amour à son visage
Mais tes illusions se brisent sur son innocence perdue.
La passion est ce feu qui te dévore,
Pour elle, c’est cet incendie qui la change,
Serre-toi encore contre son corps,
Demain, elle partira... Éphémère est l’amour des anges.