Je suis ton aill
Je suis ton ailleurs
Ton verre Voyageur :
À tes songes rêveurs,
La lune, craintive,
Brodait quelques leurres
Aux senteurs immersives :
Plongées dans la profondeur
Des mers qui moutonnent
Quelques langueurs,
Tu es mon ailleurs :
Je t'attendrai des heures,
Je lesserai filer le temps
Dans le courant
De mes pensées si flou
Et même si le glas sonne,
Je sais que je te retrouverai,
La sur le banc des regrets
Tel un fou,
Tu auras laisser la vie Quitter ton regard
Pour cet instant qui arrive trop tard ;
Mais qu'importe, je serai enfin apaisée
Dans tes yeux aux couleurs d'éternité
Je suis ton ailleurs
Ton verre Voyageur :
À tes songes rêveurs,
La lune, craintive,
Brodait quelques leurres
Aux senteurs immersives :
Plongées dans la profondeur
Des mers qui moutonnent
Quelques langueurs,
Tu es mon ailleurs :
Je t'attendrai des heures,
Je lesserai filer le temps
Dans le courant
De mes pensées si flou
Et même si le glas sonne,
Je sais que je te retrouverai,
La sur le banc des regrets
Tel un fou,
Tu auras laisser la vie Quitter ton regard
Pour cet instant qui arrive trop tard ;
Mais qu'importe, je serai enfin apaisée
Dans tes yeux aux couleurs d'éternité