La petite marchande de fleurs
Tremblait sous la pluie.
Timide, Violette
Proposait ses violettes
Près de la Porte des... [+]
J'ai envie de me perdre dans tes yeux,
J'ai envie de me perdre dans tes cieux,
J'ai envie qu'il n'y ai que nous deux,
Dans cet univers merveilleux.
Dès la première heure,
Tu as comblé mon cœur,
Je n'ai plus peur,
Plus jamais ne m'atteignent les malheurs.
Je suis comme un roseau,
Ballotté par le flot,
Mais le contact réconfortant de l'eau,
Me fait penser à toi ô mon Roméo.
J'ai envie de contempler,
Les moindres traits,
De tes paupières fermées.
J'ai simplement envie de t'aimer.
De voir le jour,
Sans m'apercevoir du temps qui court.
J'ai envie de passer mon tour,
Et de me consacrer uniquement à ton amour.
J'ai envie, au contact de ta peau,
De sentir ta chaleur circuler dans mes vaisseaux.
A défaut de mes piètres idéaux,
J'ai envie de me centrer sur tes mots.
Je ne souffrirais plus jamais de meurtriers cris,
Puisque le désespoir sera parti.
J'ai envie que passe le soleil à l'heure où sonne midi,
Et que quand vient minuit je revienne à la vie,
Bercée au creux de tes bras,
Ressentir ton cœur qui bat,
Savoir que tu sera toujours là,
Et me contenter de cela.
Je me meurs mais je t'aime,
Tu resteras toute ma bohème,
Mais si se mue ta haine,
Sache que je m'en retournerais sans problèmes.
J'ai envie de me perdre dans tes cieux,
J'ai envie qu'il n'y ai que nous deux,
Dans cet univers merveilleux.
Dès la première heure,
Tu as comblé mon cœur,
Je n'ai plus peur,
Plus jamais ne m'atteignent les malheurs.
Je suis comme un roseau,
Ballotté par le flot,
Mais le contact réconfortant de l'eau,
Me fait penser à toi ô mon Roméo.
J'ai envie de contempler,
Les moindres traits,
De tes paupières fermées.
J'ai simplement envie de t'aimer.
De voir le jour,
Sans m'apercevoir du temps qui court.
J'ai envie de passer mon tour,
Et de me consacrer uniquement à ton amour.
J'ai envie, au contact de ta peau,
De sentir ta chaleur circuler dans mes vaisseaux.
A défaut de mes piètres idéaux,
J'ai envie de me centrer sur tes mots.
Je ne souffrirais plus jamais de meurtriers cris,
Puisque le désespoir sera parti.
J'ai envie que passe le soleil à l'heure où sonne midi,
Et que quand vient minuit je revienne à la vie,
Bercée au creux de tes bras,
Ressentir ton cœur qui bat,
Savoir que tu sera toujours là,
Et me contenter de cela.
Je me meurs mais je t'aime,
Tu resteras toute ma bohème,
Mais si se mue ta haine,
Sache que je m'en retournerais sans problèmes.
Merci d'être passée sur ma page, Margot... Bonne soirée...