Entrez je vous en prie, vous serez bien au chaud.
En hiver quand la neige recouvre la montagne
Mais en été aussi quand le soleil est haut,
Quelle que soit la saison, en pays de Cocagne
L'ambiance à l'interieur est toujours garantie
Car plus on est de fous, c'est connu, plus on rit !
S'il est bien rare ici qu'il reste une chambre,
Si de la confrérie vous n'êtes pas encore membre,
On poussera les murs, on mettra des matelas,
On rallongera la table ; il y'a assez d'assiettes...
On boira des « canons », on battra l'omelette,
On fera mille tartes, de ceci ou cela..
Vous passiez seulement ; il y avait de la lumière..
Vous avez vraiment bien fait de vous arrêter...
Même si je suis partie, croyez bien que je veille
Et que même à distance je suis à vos côtés.
Restez je vous en prie, restez dans ce chalet.
Vous savoir dans ces poutres me fait chaud à l'âme
Je suis toute avec vous ; croyez moi, je suis là,
Parlez moi comme avant, je ne vous quitte pas...
En hiver quand la neige recouvre la montagne
Mais en été aussi quand le soleil est haut,
Quelle que soit la saison, en pays de Cocagne
L'ambiance à l'interieur est toujours garantie
Car plus on est de fous, c'est connu, plus on rit !
S'il est bien rare ici qu'il reste une chambre,
Si de la confrérie vous n'êtes pas encore membre,
On poussera les murs, on mettra des matelas,
On rallongera la table ; il y'a assez d'assiettes...
On boira des « canons », on battra l'omelette,
On fera mille tartes, de ceci ou cela..
Vous passiez seulement ; il y avait de la lumière..
Vous avez vraiment bien fait de vous arrêter...
Même si je suis partie, croyez bien que je veille
Et que même à distance je suis à vos côtés.
Restez je vous en prie, restez dans ce chalet.
Vous savoir dans ces poutres me fait chaud à l'âme
Je suis toute avec vous ; croyez moi, je suis là,
Parlez moi comme avant, je ne vous quitte pas...
Quand à ma dernière demeure, puissent ceux qui m’aiment découvrir comme cela le marais poitevin !