Les griffures de la pluie
Sur la peau de la flaque
Ont sanglé le temps insoumis
Entouré de feuilles en vrac
Voyage sur le banc ocre
Novembre... Peu importe
Dieu ou diable: médiocre?
Le rêve se faufile dans l'aorte
Et je marche dans ma tête
Entre brûlures et trompettes
Des morceaux de miroirs s'entêtent
A trancher la raison de la défaite
Il y a un lit, des escaliers
La maison des outils, une peur
Des grandes mains, un horrible secret
Des "je ne sais pas", du noir à l'intérieur
Il y a des fleurs, les magnifiques fuchsias
Le soleil et les rayons brillants sur la vitre
L'herbe verte, les oiseaux et leurs tralalas
Mais "être", là n'était même pas un sous titre
Il pleut du sang, sûrement la flaque qui gémit
L'herbe frémit, les serpents se faufilent
Je fait volte face à la vérité qui sourit
Descends l'escalier à l'envers du temps qui s'enfile
Autour d'un pourquoi désert et sinueux
Qui brave des saisons glaciales
Pôle Nord, pôle sud...Polaire hasardeux
L'est, l'ouest... L'équilibre censorial
Sur la peau de la flaque
Ont sanglé le temps insoumis
Entouré de feuilles en vrac
Voyage sur le banc ocre
Novembre... Peu importe
Dieu ou diable: médiocre?
Le rêve se faufile dans l'aorte
Et je marche dans ma tête
Entre brûlures et trompettes
Des morceaux de miroirs s'entêtent
A trancher la raison de la défaite
Il y a un lit, des escaliers
La maison des outils, une peur
Des grandes mains, un horrible secret
Des "je ne sais pas", du noir à l'intérieur
Il y a des fleurs, les magnifiques fuchsias
Le soleil et les rayons brillants sur la vitre
L'herbe verte, les oiseaux et leurs tralalas
Mais "être", là n'était même pas un sous titre
Il pleut du sang, sûrement la flaque qui gémit
L'herbe frémit, les serpents se faufilent
Je fait volte face à la vérité qui sourit
Descends l'escalier à l'envers du temps qui s'enfile
Autour d'un pourquoi désert et sinueux
Qui brave des saisons glaciales
Pôle Nord, pôle sud...Polaire hasardeux
L'est, l'ouest... L'équilibre censorial