À contre-courant
Ou à contrechamp,
La vie est un mystère
Mais tu l’envoies en l’air.
Tu remontes le fleuve
De tes pensées intimes.
Bien avant qu’il ne pleuve,
Tu sombres dans l’abîme.
Ton visage est livide
Et ton regard distant,
Au-delà des rapides,
Au-delà des océans.
Tu ne penses plus à rien,
Ton esprit est purgé.
Une branche à côté,
Attend que se pose ta main.
Tu ne saisis pas cette chance,
En repoussant la branche.
Tu sembles paralysée,
Mais souhaiterais t’évader.
Réfléchis quelques instants
À cet acte, et aux suivants.
Que penseront tes amis,
Quand tu ne seras plus en vie ?
Assume ta différence,
En sortant du silence.
Gagne de la confiance,
Et avance à contresens.
Ou à contrechamp,
La vie est un mystère
Mais tu l’envoies en l’air.
Tu remontes le fleuve
De tes pensées intimes.
Bien avant qu’il ne pleuve,
Tu sombres dans l’abîme.
Ton visage est livide
Et ton regard distant,
Au-delà des rapides,
Au-delà des océans.
Tu ne penses plus à rien,
Ton esprit est purgé.
Une branche à côté,
Attend que se pose ta main.
Tu ne saisis pas cette chance,
En repoussant la branche.
Tu sembles paralysée,
Mais souhaiterais t’évader.
Réfléchis quelques instants
À cet acte, et aux suivants.
Que penseront tes amis,
Quand tu ne seras plus en vie ?
Assume ta différence,
En sortant du silence.
Gagne de la confiance,
Et avance à contresens.
Mais qui finit par de bons conseils
Mes voix...