Par donne, je te transmets....
Juste un à-valoir,
sur du velours en miroir.
Un regard en détour,
Un simili-reflet à boire.
Par l’éboulis d’avant nous,
Je saurais tout de ce qui te plaît.
Parcourant tes failles par leurs contours
J’ôterais le mal, conterais effet.
Quel que soit l’objet de tes attentions,
Mon ombre s’y portera.
Quand l’ambre opale des saisons brunes,
M’aura tanné dans l’œil de Râ ;
Les blés nouveaux flotteront en dunes,
Tapisseront d’or nos regards las.
Changeant au gré de nos envies,
Le grain de l’armure d’Apollon.
Tressé dans les rayons stellaires
Du souvenir des mirmillons.
Qui taillaient rétiaires en pièces,
Pour la joie des constellations.
Peut-être est-ce trop pour une seule vie ?
Moi j’en veux cent milles avec toi.
Juste un à-valoir,
sur du velours en miroir.
Un regard en détour,
Un simili-reflet à boire.
Par l’éboulis d’avant nous,
Je saurais tout de ce qui te plaît.
Parcourant tes failles par leurs contours
J’ôterais le mal, conterais effet.
Quel que soit l’objet de tes attentions,
Mon ombre s’y portera.
Quand l’ambre opale des saisons brunes,
M’aura tanné dans l’œil de Râ ;
Les blés nouveaux flotteront en dunes,
Tapisseront d’or nos regards las.
Changeant au gré de nos envies,
Le grain de l’armure d’Apollon.
Tressé dans les rayons stellaires
Du souvenir des mirmillons.
Qui taillaient rétiaires en pièces,
Pour la joie des constellations.
Peut-être est-ce trop pour une seule vie ?
Moi j’en veux cent milles avec toi.