Quand il s’agit de décevoir
Il se pourrait je vous l’accorde
Que me battre soit illusoire
Que j’aie à mon arc plusieurs cordes
L’art du refus et de la fuite
I’m not desperate don’t worry
Moi si, pourtant là tout de suite
Ton charme n’aura pas suffi
Crie donc au vol crie qu’on te trompe
L’abus que tu fais des photos
Tarit ton aura et l’estompe
C’est pathétique, oui tu es beau
Mais de quel droit imposes-tu
Des règles toutes en ta faveur
Empreintes d’un mépris perdu
Sous des talents de séducteur
Et oui c’est vrai tu m’as fait rire
C’était facile, tu as touché
A l’endroit même où vit le pire
Le cœur des filles abandonnées
Con de daron, tu paies pour d’autres
Tu paies pour eux au nom de votre
Lâcheté héritée d’Adam
Des premiers hommes et de leur faute
L’audace d’un désir ardent
Exprimé pour leur propre côte
Chair de ma chair je te méprise
Et pourtant je te veux éprise
Je prendrai plaisir à te prendre
Autant qu’à te cracher dessus
Je ne vais surtout pas entendre
Quand tu crieras que je te tue
Donc, monsieur, un peu de décence
Les règles je les ai, pourquoi
Ne puis-je les faire à mon tour
Moins de valeur, sans résonance
Ici ça va, parle pour toi
Ton regard fermé tout le jour
A ta propre misogynie
S’épanouit le soir quand il
Se glisse à tâtons dans le lit
Qu’il aura fui à minuit pile
Pauvre de toi sale roi des rats
L’honneur que te feraient ces bras
Tu n’en goûteras pas assez
L’enlacement et la rosée
Tout pétri de tes bas instincts
Tu te flattes dans des traits fins
Sans beauté j’aime encore ma tête
Ne compte pas sur moi, sale bête
Pour orner ton tableau de chasse
Il se pourrait je vous l’accorde
Que me battre soit illusoire
Que j’aie à mon arc plusieurs cordes
L’art du refus et de la fuite
I’m not desperate don’t worry
Moi si, pourtant là tout de suite
Ton charme n’aura pas suffi
Crie donc au vol crie qu’on te trompe
L’abus que tu fais des photos
Tarit ton aura et l’estompe
C’est pathétique, oui tu es beau
Mais de quel droit imposes-tu
Des règles toutes en ta faveur
Empreintes d’un mépris perdu
Sous des talents de séducteur
Et oui c’est vrai tu m’as fait rire
C’était facile, tu as touché
A l’endroit même où vit le pire
Le cœur des filles abandonnées
Con de daron, tu paies pour d’autres
Tu paies pour eux au nom de votre
Lâcheté héritée d’Adam
Des premiers hommes et de leur faute
L’audace d’un désir ardent
Exprimé pour leur propre côte
Chair de ma chair je te méprise
Et pourtant je te veux éprise
Je prendrai plaisir à te prendre
Autant qu’à te cracher dessus
Je ne vais surtout pas entendre
Quand tu crieras que je te tue
Donc, monsieur, un peu de décence
Les règles je les ai, pourquoi
Ne puis-je les faire à mon tour
Moins de valeur, sans résonance
Ici ça va, parle pour toi
Ton regard fermé tout le jour
A ta propre misogynie
S’épanouit le soir quand il
Se glisse à tâtons dans le lit
Qu’il aura fui à minuit pile
Pauvre de toi sale roi des rats
L’honneur que te feraient ces bras
Tu n’en goûteras pas assez
L’enlacement et la rosée
Tout pétri de tes bas instincts
Tu te flattes dans des traits fins
Sans beauté j’aime encore ma tête
Ne compte pas sur moi, sale bête
Pour orner ton tableau de chasse