Un poète méditait sous le Magnolia
Ce dernier se complaignait
Du destin qui l'attendait
Selon les hommes et leurs lois.
Attristé de cette destinée
L'artiste essaya de le consoler
En vain, l'arbre déclama
Sa complainte si misérable :
On n'a jamais d'amis véritables,
D'amour éternel.
Il ne sont que passant égarés,
Sur la route de ce monde.
Ombres parmi les ombres...
Reflets illusoires de notre chère réalité chimère.
Quelle amertume de se voir
Dans la glace, face à son image glacée de personnalité
Réflexion de mon apparence.
J'aurais aimé me noyer
Dans mes propres larmes salées,
Pour ne voir que l'immense amertume de cet océan
Dans lequel je m'engouffre.
J'étais en quête d'amour et d'amitié,
Je ne récolte que rage et haine.
Ô maigre moisson,
Fruit de mes vains efforts.
Rêves et songes se sont évanouis
L'enfance perdue dans les confins étroits du temps.
L'adolescence errant à jamais dans le temps de l'innocence.
L'âge mûr en doute et dans l'oubli.
Dans l'Univers infini
Je ne saurais me consoler
De mes chagrins et regrets passés.
Je ne peux plus que regretter.
Alors comment rêver à l'avenir?
Supporter le joug de la mémoire?
Vivre dans l'attention de mon temps?
Mon seul souhait le plus sincère :
Revoir la lumière de mes antiques espoirs
Dessiner et écrire sur la feuille de l'horizon
Une nouvelle histoire et une lueur de renaissance,
Revivre enfin le temps des plaisances.
Ce dernier se complaignait
Du destin qui l'attendait
Selon les hommes et leurs lois.
Attristé de cette destinée
L'artiste essaya de le consoler
En vain, l'arbre déclama
Sa complainte si misérable :
On n'a jamais d'amis véritables,
D'amour éternel.
Il ne sont que passant égarés,
Sur la route de ce monde.
Ombres parmi les ombres...
Reflets illusoires de notre chère réalité chimère.
Quelle amertume de se voir
Dans la glace, face à son image glacée de personnalité
Réflexion de mon apparence.
J'aurais aimé me noyer
Dans mes propres larmes salées,
Pour ne voir que l'immense amertume de cet océan
Dans lequel je m'engouffre.
J'étais en quête d'amour et d'amitié,
Je ne récolte que rage et haine.
Ô maigre moisson,
Fruit de mes vains efforts.
Rêves et songes se sont évanouis
L'enfance perdue dans les confins étroits du temps.
L'adolescence errant à jamais dans le temps de l'innocence.
L'âge mûr en doute et dans l'oubli.
Dans l'Univers infini
Je ne saurais me consoler
De mes chagrins et regrets passés.
Je ne peux plus que regretter.
Alors comment rêver à l'avenir?
Supporter le joug de la mémoire?
Vivre dans l'attention de mon temps?
Mon seul souhait le plus sincère :
Revoir la lumière de mes antiques espoirs
Dessiner et écrire sur la feuille de l'horizon
Une nouvelle histoire et une lueur de renaissance,
Revivre enfin le temps des plaisances.