Derrière ma fenêtre, assise à ma table
Je couche mes pensées sans but véritable.
C'est la morte saison, le froid atteint même mes rideaux scintillants.
Dehors le chemin vers la route est recouvert de blanc.
On pourrait croire à un désert de sable à l'infini étendu
Mais le bois au bout de mon jardin n'en a point l'aridité.
Il est, à mes yeux enneigés, un îlot insolite de gaieté.
Un écureuil égaré patine sur la glace sur le sol répandue.
Je me délecte dans mon salon, bien au chaud,
Une bûche se consumant dans le poêle brûlant.
Que j'aime l'hiver, ses spectacles, ses délices,
Que j'aime affronter ses odeurs, protégée sous ma pelisse...
Je couche mes pensées sans but véritable.
C'est la morte saison, le froid atteint même mes rideaux scintillants.
Dehors le chemin vers la route est recouvert de blanc.
On pourrait croire à un désert de sable à l'infini étendu
Mais le bois au bout de mon jardin n'en a point l'aridité.
Il est, à mes yeux enneigés, un îlot insolite de gaieté.
Un écureuil égaré patine sur la glace sur le sol répandue.
Je me délecte dans mon salon, bien au chaud,
Une bûche se consumant dans le poêle brûlant.
Que j'aime l'hiver, ses spectacles, ses délices,
Que j'aime affronter ses odeurs, protégée sous ma pelisse...
(une coquille ici, Jolana: "sous me pelisse...")