Habille-moi d’amour et de rires tempêtes
Pour recouvrir mon cœur de rubis cristallins
Et chasser les frissons de ma peau de
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Ton sourire s'efface au visage du temps.
Tes mains vagabondant à envoler l'hiver
Ont froid et emprisonnent l'orée des printemps.
Ton cœur pâlit déjà. L'amour s'est mis au vert.
Il est quelques flocons gelés de ces erreurs,
De ces mots jetés là aux fronts de nos colères.
Le soleil est brûlant aux détours de ces heures
Là où ton cœur s'endort. L'amour est mis en terre.
Une aubade cruelle effleure le sommeil
De petite étincelle éclairée de chimère.
Mais la nuit les oublie au pays des merveilles.
Ton cœur prend le roulis. L'amour au mal de mer.
Les regards se frôlaient à des pas apprêtés
Qui flirtaient joliment au parfum du grand air.
Mais les saisons varient, la vie nous est prêtée.
Nos cœurs sont asséchés. L'Amour est éphémère.
Tes mains vagabondant à envoler l'hiver
Ont froid et emprisonnent l'orée des printemps.
Ton cœur pâlit déjà. L'amour s'est mis au vert.
Il est quelques flocons gelés de ces erreurs,
De ces mots jetés là aux fronts de nos colères.
Le soleil est brûlant aux détours de ces heures
Là où ton cœur s'endort. L'amour est mis en terre.
Une aubade cruelle effleure le sommeil
De petite étincelle éclairée de chimère.
Mais la nuit les oublie au pays des merveilles.
Ton cœur prend le roulis. L'amour au mal de mer.
Les regards se frôlaient à des pas apprêtés
Qui flirtaient joliment au parfum du grand air.
Mais les saisons varient, la vie nous est prêtée.
Nos cœurs sont asséchés. L'Amour est éphémère.