Ce matin-là d’été, la route m’avait prise
Dans la fraîcheur salée, direction la méprise
De cette maison d’antan... [+]
C’était un voyage pour moi
Un voyage au pays des gens qui croient à tout, jamais à rien
La fontaine emportait le vent, le rire du Pic qui sonnait franc
J’ai parcouru les allées puis je me suis posée, le dos sur le portail sans barrière
Je n’ai pas beaucoup cherché
Je crois que c’est le tilleul qui m’avait appelée
J’ai compté jusqu’à vingt
Entre deux soleils la sieste m’a saisie
J’ai cessé de compter
Des piétons passaient là mais comme je dormais, je ne les ai pas vus
Ils ne se sont donc pas risqués dans le texte
Ils ont préféré faire un pas de côté pour éviter de déranger
Un voyage au pays des gens qui croient à tout, jamais à rien
La fontaine emportait le vent, le rire du Pic qui sonnait franc
J’ai parcouru les allées puis je me suis posée, le dos sur le portail sans barrière
Je n’ai pas beaucoup cherché
Je crois que c’est le tilleul qui m’avait appelée
J’ai compté jusqu’à vingt
Entre deux soleils la sieste m’a saisie
J’ai cessé de compter
Des piétons passaient là mais comme je dormais, je ne les ai pas vus
Ils ne se sont donc pas risqués dans le texte
Ils ont préféré faire un pas de côté pour éviter de déranger