Couleur sépia.
On voit la vieille camionnette plateau Citroën de l'oncle Henri avec laquelle il livre le charbon. En ce chaud dimanche de juillet, elle transporte la famille sur des bancs ou des
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Assez des beaux parleurs des tchatcheurs, des blogueurs.
Tous les influenceurs et les bonimenteurs
Qui parlent avec leur tête jamais avec leur cœur
Promettent un avenir aux jardins pleins de fleurs
Ou des années d'enfer rongées par le malheur.
Ils ont miné nos songes, leurs mensonges nous rongent.
Les bobards des bavards nous flanquent le cafard
Et ils peuplent nos nuits de trop de cauchemars.
Leurs sermons pleins d'emphase nous rasent et nous déphasent.
Assez de ceux qui savent, qui bavent et nous entravent.
Ils clament leurs réclames et dérobent nos âmes.
Nos rêves sont pollués, nos printemps abîmés
Nos sourires effacés et nos yeux fatigués
Nos baisers oubliés et nos cœurs déchirés
Nos espoirs sont brisés, nos désirs envolés.
J'en ai assez des uns et plus encore des autres
Prophètes de malheur et tous ces bons apôtres
J'ai cru à leurs promesses dans ma tendre jeunesse
J'ai bu jusqu'à l'ivresse les sermons de leurs messes
Lancé des SOS pour mon âme en détresse.
A tous les casse- pieds, les gêneurs, les fâcheux, les pisse vinaigre, les bénis oui oui, les exaltés du bulbe, les imbéciles heureux, les empêcheurs de vivre, j'ai envie de crier, de hurler, de gueuler: ASSEZ !
Tous les influenceurs et les bonimenteurs
Qui parlent avec leur tête jamais avec leur cœur
Promettent un avenir aux jardins pleins de fleurs
Ou des années d'enfer rongées par le malheur.
Ils ont miné nos songes, leurs mensonges nous rongent.
Les bobards des bavards nous flanquent le cafard
Et ils peuplent nos nuits de trop de cauchemars.
Leurs sermons pleins d'emphase nous rasent et nous déphasent.
Assez de ceux qui savent, qui bavent et nous entravent.
Ils clament leurs réclames et dérobent nos âmes.
Nos rêves sont pollués, nos printemps abîmés
Nos sourires effacés et nos yeux fatigués
Nos baisers oubliés et nos cœurs déchirés
Nos espoirs sont brisés, nos désirs envolés.
J'en ai assez des uns et plus encore des autres
Prophètes de malheur et tous ces bons apôtres
J'ai cru à leurs promesses dans ma tendre jeunesse
J'ai bu jusqu'à l'ivresse les sermons de leurs messes
Lancé des SOS pour mon âme en détresse.
A tous les casse- pieds, les gêneurs, les fâcheux, les pisse vinaigre, les bénis oui oui, les exaltés du bulbe, les imbéciles heureux, les empêcheurs de vivre, j'ai envie de crier, de hurler, de gueuler: ASSEZ !