Il y a en chacun de nous une lumière vive, brillante, fils et filles de l’Astre. Mais en quelques individus subsistera toujours une part d’ombre, c’est elle qu’il nous faut pourchasser sans... [+]
L'incompréhension
La confrontation
La colère
La douleur qui vrille et agite le ventre
Les sanglots d'épuisement
Le froid qui tétanise
Ce flottement
dans l'air
La tête qui oscille
Le coeur qui se rétracte
La bouche sèche, les yeux qui cillent
La tristesse pesante
Qui longtemps engourdit
Les heures jouent sans cesse à rallonger la nuit
La fatigue s'étire et le souffle se perd
Au matin s'évaporent mes derniers repères
Qui es-tu? Toi si proche et soudain étranger
Toi que j'aime et qui fort cette fois m'a blessé
Toi qui tremble et qui luttes avec ces autres ombres
Que je ne connais pas et qui font que tu sombres
Ou s'arrête ce mal?
Ou commence ton tort?
Je ne sais si je peux supporter le décors
De ce théâtre noir qu'est devenue la vie
Je ne suis pas si forte que j'en ai envie...
Et cette maladie qui te rend décalé
Incohérent, fragile, fébrile et paumé
Réveille en moi la peur, l'angoisse et l'inquiètude
Qui ne me quittent plus
Macabre préambule
La confrontation
La colère
La douleur qui vrille et agite le ventre
Les sanglots d'épuisement
Le froid qui tétanise
Ce flottement
dans l'air
La tête qui oscille
Le coeur qui se rétracte
La bouche sèche, les yeux qui cillent
La tristesse pesante
Qui longtemps engourdit
Les heures jouent sans cesse à rallonger la nuit
La fatigue s'étire et le souffle se perd
Au matin s'évaporent mes derniers repères
Qui es-tu? Toi si proche et soudain étranger
Toi que j'aime et qui fort cette fois m'a blessé
Toi qui tremble et qui luttes avec ces autres ombres
Que je ne connais pas et qui font que tu sombres
Ou s'arrête ce mal?
Ou commence ton tort?
Je ne sais si je peux supporter le décors
De ce théâtre noir qu'est devenue la vie
Je ne suis pas si forte que j'en ai envie...
Et cette maladie qui te rend décalé
Incohérent, fragile, fébrile et paumé
Réveille en moi la peur, l'angoisse et l'inquiètude
Qui ne me quittent plus
Macabre préambule