Voici des levers , couchers , zéniths et aubes
Et puis mon palpitant qui bat pour toi autant
Ne l'étouffe pas comme pour cuire une daube
Et , qu'à ton regard si doux il demeure présent
J'arrive tout couvert de pluie , bien arrosé ,
Que la bourrasque a posé sur mon costume
Souffre que mes habits à tes pieds déposés
Osent de chauds instants qui me désenrhument
Sur ta belle poitrine laisse mes rouflaquettes
Toutes humides encore sécher par tes baisers
Laisse les retrouver leur frisure coquette
Et , m'endormir ainsi sur ton cœur apaisé
Et puis mon palpitant qui bat pour toi autant
Ne l'étouffe pas comme pour cuire une daube
Et , qu'à ton regard si doux il demeure présent
J'arrive tout couvert de pluie , bien arrosé ,
Que la bourrasque a posé sur mon costume
Souffre que mes habits à tes pieds déposés
Osent de chauds instants qui me désenrhument
Sur ta belle poitrine laisse mes rouflaquettes
Toutes humides encore sécher par tes baisers
Laisse les retrouver leur frisure coquette
Et , m'endormir ainsi sur ton cœur apaisé