Une bousculade stagnante

Toute histoire commence un jour, quelque part, que le lieu soit original ou emprunté.
Même pour cette histoire de bousculade qui tarde à marquer des pas et qui s'est passée dans un lieu où il n'est pas facile de séjourner.
-Quel tour êtes vous entrain de me jouer ?
Si vous ne voulez pas vous faire traduire, céder la place aux autres. Si vous ne voulez pas "naître" de grâce mettez vous de côté.Je ne vous force nullement à vous exprimer. Ma tête tourne. Et tout ceci c'est à cause de vous. Vous savez que j'écris pour me libérer donc si vous n'accepter pas de sortir respectivement, vous savez bien ce que ça va donner.
(Vous allez peut être vous dire :mais celui là de quoi il parle ? ) .
L'écriture est du mystère.En ce qui me concerne, vouloir écrire sur un aspect ou quelconque thème, ne me signifie pas que je vais forcément y rédiger. Tandis qu'il peut arriver que j'écris sans m'en rendre compte.C'est à ce stade que je soutien Nicolas boileau qui disait :"tout ce qui se conçoit bien, s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément ". J'ignore même parfois ce qui me pousse à transformer mes pensées en mots. C'est en me relisant que je me rends compte de l'état ou de la pertinence de l'oeuvre que j'ai produite
Comme il arrive que je cherche par où commencer. Vous voyez comme c'est mystèrieux, mais fou aussi.
-N'est il pas que ces présents devraient sortir pour que d'autres tombent.Quoi qu'il en soit, ils doivent au moins me prendre compte car ils ont envahi ma tête inutilement au point de me faire des maux de tête. Et je ne suis en aucun cas pour que les mots suscitent des maux. Au contraire je compose ces mots pour sculpter une pensée. Une pensée pour d'abord me réfugier. Et ensuite à l'endroit des gens pour leur etinceller leur esprit en dénonçant, pour leur servir aussi de miroir.