Qu'a-t-elle fait?

Toute histoire commence un jour, quelque part... la sienne commence au bâtiment C2 chambre 17 du campus INSET de l’Université Felix Houphouët Boigny d’Abidjan, COTE D’IVOIRE. A cet endroit l’on pouvait apercevoir une jeune fille en larme avec des bleus sur tous le corps, ses vêtements déchirés qui laissait entrevoir ses dessous tachetés de sang, des perles de son baya éparpillées sur ses cuisses bronzées et sur le carreaux rougi par le sang, accroupie sur un corps inerte, comme une musulmane priant, c’était le corps homme ; poignardé ; peut-être était-il mort se disait-on, nul ne pouvait l’affirmer avec certitude seul l’ambulance pourrait le faire et elle, elle pleurais à grosse et chaude larme en criant sans cesse «mon amour lève-toi pardon ta lutte, notre lutte n’est pas encore terminée». Elle, c’est Sara Kouakou jeune fille de 23 ans étudiante en master II de lettres modernes à l’Université Felix Houphouët Boigny, très belle et intelligente tous les hommes la convoitaient mais elle, elle n’avait d’yeux que pour Serge Drogba secrétaire général de la FESCI FLASH et étudiant en thèse d’histoire, son petit ami, elle l’aimait de tous son être, ce syndicaliste l’avait conquise grâce à sa vigueur, son intelligence et son dévouement pour la FESCI. A la veille de ce jour Serge venait de remporter les élections de secrétaire général de la toute puissante section FESCI FLASH LLC/ICA. Tous deux allaient célébrer cette victoire dans la chambre universitaire de Serge. A peine dans la chambre ils commençaient à s’enlacer follement, s’embrasser fougueusement sur tous le corps, se caresser passionnément, ils mirent leur main chacun dans le dessous de l’autre comme s’ils y recherchaient un trésor que chacun d’eux possédaient et qui allait fait le bonheur de l’autre dans quelques instants, serge avait trouver son trésor que Sara détenait, il voulut sans saisi pour mieux le contempler et le manipuler en retirant à Sara son jean moulant qui dessinait allègrement ces chaleureuses courbes africaines, quand soudain ils durent stopper un instant leur idylle car l’on frappais sauvagement à porte. –vas-y mon étalon je t’attends ici on a toute la nuit. dit-Sara avec un coquin. –bon sens! On ne dérange pas les gens dans ces moments. La porte, à peine ouverte une dizaine de personne entraient dans la chambre avec à la main machette et couteau menaçant d’égorger Sara si Serge tentait quoi que ce soit. Il aurait puis leur donner une très bonne correction à lui seul pratiquant de taïchi et de box cette bagarre serait de l’eau à boire pour lui mais que pouvait-il fait face à cette menace sur sa Sara son unique et véritable amour, son trophée aux yeux de biche et la forme enivrante d’une africaine, non pour elle il ne devait rien faire et il ne fit rien. L’homme le plus robuste d’entre les envahisseurs se mit à crier «bien! Maintenant tu vas sentir la lutte. Ça t’apprendra de vouloir le pouvoir idiot. Que croyais-tu ? Que nous allions aussi facilement te céder le pouvoir.» De deux coups de couteau il le poignardait au cœur, serge eu seulement le temps de dire le nom de Sara avant de perdre connaissance. Sara cria comme une louve qui venait de mettre bas le nom de son amour, elle fut saisi au même moment par quatre gaillards qui se mirent à la battre elle se débattait mais en vain, tous les dix hommes passaient chacun à leur tour, il la violait comme si elle était une poupée sexuelle. Apres leur besogne ils partirent... –Chérie tu dors encore lève-toi nous devons rendre visite à Digbeu pour lui dire merci pour tous car il m’a vraiment aidé lors de la campagne. Sara se réveillait ; voyait son serge et elle sourit -Mon amour tu vis! Dieu merci. Tu sais quoi je vais créer un ONG pour toutes les femmes de leaders africains qui on subit des atrocités dû au rang de leur mari. –bien ma douce! Il est temps d’aller si on ne veut pas resté en retard. Ah ma Sara et son arme caritative. Mais pourquoi est-elle surprise que je vive? Se dit-il quand celle-ci filait sous la douche.
Sara, après sa douche, commençait à réfléchir au projet que son rêve l'avait inspirée et qui l'avait permis de prendre conscience qu'elle ne devait pas être une simple spectatrice dans le parcourt politique de son tendre amour Serge mais plutôt une actrice qui pourra soutenir à la fois lui et les autres femmes de leaders politiques africains qui ont subi les pires atrocités dû au rang politique de leur mari dont ni la société ni la justice africaines ne s'en soucis véritablement.