Oxymore

Toute histoire commence un jour, quelque part où Je convoque sur cet instant le cauchemar rêveur passé dans cette sainte nuit éclairée ; la simple histoire d’un vieux jeune homme qui décide de refuser l’amour, sous un soleil noir il attacha avec une main frustrée la main de cette vilaine charmante femme qui instaure près de lui toute l’unique panoplie des sentiments cachés, elle en révéla quelques-uns, surement pour qu’il l’aime en retour. Mais en haut de ce bas monde l’unique tragédie que connait l’homme est l’insatisfaction satisfaite pour lui d’un unique amour, tandis que l’infidélité fidèle à elle-même régna, la complexité d’un simple touché raccommode pour lui tous les instants d’un conte qui a dû exister autre fois dans un réel mirage telles de la magie fantaisiste, d’une comédie dramatique, d’une sublime horreur ; aimer avec haine passionnelle résidente dans un cœur froid. Tout avec cet outrage, l’amoureux empêche de continuer et reverse dans son esprit le fameux récit d’un amour impossible, de croire à l’incroyable destin qui ne lie ni une moitié ni un tout sous un toit humide par la chaleur de l’amour, il plongea dans le blanc des yeux de la femme ses yeux noirs dans un silence éloquent où seul le sens parla, et annonça de fermer ces mêmes yeux et de retourner vers un conte réel. Lors de cet instant un enfer polaire chanta les louanges des anges délaissés et fait danser les flammes mouillées qui courbent ici la figure d’une magnifique toile, l’aspect que l’homme laisse son attachée vivre dans un univers sans sa présence. Pauvre éloquence d’un monde symphonique d’une mélodie de haine joyeuse !