Le cri du cœur

Toute histoire commence un jour, quelque part et celle-là aussi.
Quelque part...dans une ville qui n’existe pas?
Ou est cette ville ? Elle est dans notre cœur, et l’histoire c’est notre vies.
Un jour, on est né, à partir d’aujourd’hui on commence à découvrir le monde...on a peur...on ne sais rien, on entend des bruits, des voix, des langues on vois des tableaux, des dessins, on est heureux, on écoute notre mère en respirant son odeur.
On NE veut pas grandir.
L’école, on rentre... beaucoup de fleurs, professeur, chaque jour à huit heure...on est fatigué, on a eu une mauvaise note, on a honte de rentrer à la maison, on ment :
«Comment a été ma journée? Très bien .. »
La mathématique, la géographie...l’école est finie, voilà.
On NE veut pas grandir.
Mais le temps est trop cruel, mon bel ami.
Il dit rien, il est derrière toi, il est tout près. Mais tu ne vois pas.
Tu pleure, ton premier amour, on te case ton cœur... tu pleures, pourquoi ? Pourquoi c’est avec moi?
Tu est grand ? Non, tu ne veux pas, tu ne comprends pas ce monde.
L’université, tes premières réussites, tu est content, «Je suis heureux, je travaille et je vois les résultas »
Tu change, tu vois les hommes différemment. Qu’est-ce qui se passe ? Pourquoi j’ai mal au cœur ? Pourquoi ?
Tu essaye de trouver de réponses.
Je suis en fou ! J’aime ce monde! J’aime le peuple commun, j’aime ces vendeurs de fleures, j’aime ce petit courant de vent le matin. Non, je refuse de voir ces mauvaises chose: un père qui tape son fils, je cris «  pourquoi vous faites c, il ne fait pas... » la réponse «  il ne comprends pas. » Et mon cœur souffre. Encore une fois la dame qui plantes sa main dans les cheveux de sa fille en disant de mauvaises choses, elle est agressive, la fille a mal, je ne peux pas se taire «  Qu’est-ce que vous faites ?!! Elle a mal... »
« Elle a sali son teeshirt! »
Mon cœur souffre. J’ai l’envie de crier, de pleurer, combien d’enfants ont la même chose??? Combien?!
...tu crois que ces mots sont pas trop brillants, mais pour les étoiles c’est assez pour ressentir mon malheur, mon douleur pour ce triste monde qui est tout en flamme, qui ne peut pas se sauver.