D'une main rageuse, il arrache les guirlandes du sapin et vous étrangle avec. Très vite, il vous fait comprendre que la fête est finie. Autour de vous, des chaises vides, des rires lointains. Désemparé, vous cédez alors à la mélancolie. Vous en prenez plein la gueule. Vous ne marchez plus droit dans vos bottes. Vous cherchez le regard des autres, mais les autres ont le regard fuyant. Personne ne viendra vous sauver de vous-même. D'ailleurs, cherchez-vous véritablement de l'aide ? Vos yeux de fantôme disent le contraire. Mort, vous ne l'êtes pas encore. Vivre dans le passé, ce n'est pas vivre non plus. D'une manière ou d'une autre, vous souhaitez en finir. Un problème se pose : où trouver cette porte de sortie jusqu'ici insaisissable ? Vous voilà avec un objectif. Une raison de vivre ? N'exagérons rien. On se rend malade comme on peut.