La graine de tournesol

Toute histoire commence un jour, quelque part. Mais celle-ci commence au moment même où elle se termine.
Je ne suis pas sûr de tout ce qui c'est passer mais une chose dont je suis certain, c'est ça finité ; Car la beauté des choses réside dans leur finité.

Je venais de m'enfuir de l'orphelinat, je courus aussi vite que je le pus, sans savoir ou j'allais, tout ce que je voulais c'était d'être loin de cet endroit, loin de l'enferre ou je naquis.
Toute ma vie j'étais esclave a "Dorselli", maintenant je voulais ma liberté. Après je ne me souvins de rien, c'était comme si un vide m'engloutit pour quelques instants, pour me laissa tomber dans un endroit qui ne m'étais pas si familier...

J'ouvris les yeux, je pouvais à peine voir, la seule chose que je pouvais faire en faite c'était d'écouter, et la seule chose que j'entendis c'était la voix d'un veille homme qui chantait, quelques heures après je me réveillais de nouveau et regardai autour de moi pour voir le vieux monsieur en face de moi.
Il me regarda de ses grands yeux et me dit :"bonjour mon petit, j'espère que tu te sens mieux aujourd'hui".
J'observais l'homme, il me sembla le connaitre depuis longtemps, je voulus lui parler mais aucun mot ne sortit de ma bouche, comme si quelqu'un m'avait privée de tout mon vocabulaire et a mis un espace vide a ça place.
Je continuais d'observer l'homme et finalement put sortir quelques mots :"j'ai faim", pour la première fois depuis longtemps j'ai pus sortir ses mots de ma bouche, car la peur de les dire me ronger a "Dorselli", l'endroit ou ma peur de vivre naquis et grandit en moi, peut être il était temps pour que les choses change... À ce moment l'homme me demanda de le suivre, il me sembla qu'on était chez lui, il me conduit a la cuisine ou il me prépara de quoi manger, il s'assit en face de moi et me dit :"je m'appelle Hercule, géographe et peintre, je t'ai trouvé dans une petite foret pas loin d'ici tu t'es évanouit puis, je t'ai amené chez moi, c'est quoi ton nom mon petit ?"
"Auguste" je répondis, "je vivais a l'orphelinat de "Dorselli", le jour ou vous m'avait trouvè-j'avais décidé de m'enfuir, j'espère que vous n'aller pas me renvoyer las bas, je ne veux jamais y retourner !"
"Ne t'en fait pas petit tu vas rester avec moi, tu seras mon fils, tu n'as rien à craindre".

Depuis que j'ai entendu ces mots et je vis avec Hercule, il prit soin de moi comme jamais personne ne l'a fait, jamais je ne pourrais le remercier suffisamment pour ce qu'il a fait avec moi, il m'a élevé pendant 10 ans, et ces années étaient les plus belles de ma vie, jusqu'au jour ou j'appris qu'Hercule tombait malade, et qu'il n'y avait rien à faire pour le guérir.
Nuit et jour je fis en sorte que rien ne lui manqua, fit de mon mieux pour le soigner mais la triste vérité hantait mon âme et mon cœur, je ne savais pas ce qui allait se passer si Hercule n'étais plus avec moi, tout ce dont j'étais certain c'est que je devais être fort pour lui.

Un jour, la maladie s'acharna sur Hercule et il n'allait pas bien, il ne voulait pas voir de médecin ni allait a l'hôpital, il voulait juste me parler, il me parla de sa voix faible qui à peine portée vie en elle :" Mon petit je sais que je ne pourrais vivre plus longtemps, et pour cela je voudrais t donner quelque chose qui n'a que de la valeur dans le cœur pur de celui qui la possède. Ouvre mon tiroir, tu y trouveras une boite en porcelaine, à l'intérieur il y a une graine de tournesol, cet graine mon petit te dévoilera tout e dont tu as besoin de savoir, il faut juste que tu la plantes la ou nulle plante ne pousse, la ou toute vie n'existe, tu dois la planter aussi loin ou tu pourras trouver ton cœur, plante la, laisse la pousser et tu auras ta vérité".

Après il ferma les yeux et c'est là que j'ai compris qu'il me disait adieu ; je ne compris aucun mot qui sortit de sa bouche, mais je devais faire ce qu'il m'avait demande de faire.

Après beaucoup de réflexion, j'ai découvert ou je devais planter la graine, sans attendre je me mis en route vers le champ désert prêt de l'orphelinat ou j'étais, ce champ ou je passais la plupart de mon temps quand j'étais triste, quand la solitude décider de s'emparer de moi, ce champ ou mon Cœur montrait toute sa faiblesse et tout son désordre ; quand je suis arrivé au champ je me mis a genoux et creusa un petit trou pour y mettre la graine.
Chaque jour je venais pour arroser la graine et prendre soin d'elle mais jamais elle ne poussa, Un jour, je décidais d'aller au cimetière pour visiter Hercule. À mon arrivée j'aperçus une étrange boite de loin, je m'approchais et pris la boite dans mes mains : c'était une boite de musique.
Je l'ouvris et la musique commença, j'observais le dessin peint à l'intérieur de la boite et c'était celui d'un tournesol, je continuais d'écouter la musique jusqu'à ce que la graine qu'Hercule m'avait donne apparut dans la boite, je la pris d'une main tandis que l'autre tenait la boite et je me dirigeais vers le champ pour la replanter.
Je m'agenouillais et puis creusa un trou, avant de la planter j'ouvris la boite de musique pour écouter la berceuse toute en plantant la graine. À ce moment j'eus comme une vision, ou bien un souvenir très étrange, cette musique me rappeler ma mère pour une raison que j'ignorai et soudain la graine commença a pousse d'une façon étrange et en quelques secondes la graines qui était planté dans une terre infertile poussa pour devenir un magnifique tournesol.

J'observais le tournesol avec admiration, je le contemplais et j'examine de toute sa splendeur, et tout d'un coup j'entendis mon nom être appelé, je regardais autour de moi mais il n'y avait personne, cela m'avait pris plusieurs appelle pour savoir que c'était le tournesol qui m'appeler.
"Auguste, aujourd'hui tu retourneras la ou tu dois être tu retrouveras tout ce que tu avais perdus, ta mère elle t'attend, prend moi dans tes mains..."
"Ma mère... ? Comment ça ? Répond moi ?TOURNESOL NE ME LAISSE PAS TOMBER !" Je crie pleurer supplier le tournesol de me répondre mais rien... Juste un silence affreux et une peur insoutenable, je ne savais plus quoi faire ni quoi dire ni comment agir, je voulais tellement voir ma mère mais je savais que cela n'était pas possible.

Je regardais la fleur pour quelques heures, puis décidais de la pendre de mes mains comme me l'avait dit le tournesol, mais rien ne c'était passer, je commençais à me demander si tout cela n'était pas fruit de mon imagination, mais au moment où j'allais lâcher le tournesol, une voix douce et calme m'appela et me dit :" Mon garçon prend moi la main, rejoint moi, reste avec moi"

Je vis devant moi une main qui s'étendait je l'attrapais et a ce moment je vis une jeune d'une beauté incomparable, Elle me sourit et me dit, vient avec moi en souriant.
Elle me prise dans ce bras et au moment où ont c'étaient touche, tout devint clair pour moi, et autour de nous tout devint noir tout devint finit.

La d'où je vous conte cette histoire est un endroit qui ne vous viendra pas à l'esprit, je vous parle du champ de tournesol ou j'avais plante la graine, sauf qu'il n'y avait pas de graine, ni de tournesol, il y avait juste en moi les traces d'un rêves qui semblait être réalité, il ne restait que déception et peine en retournant a l'enfer qu'était cet orphelinat, une chose dont j'étais certain c'est qu'un jour je sortirais de "Dorselli" et pour la première fois je vivrai.